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Un millier de personnes au meeting bisontin de la France insoumise
Après qu'Anne-Sophie Pelletier a parlé de « dignité », la tête de liste Manon Aubry a ravi l'auditoire par sa fraicheur, sa défense des fromages AOP et sa critique des paradis fiscaux. Alexis Corbière a dénoncé « l'hypocrisie » macronienne sur les ventes d'armes à l'Arabie Saoudite. Jean-Luc Mélenchon a philosophé, préférant Les Lumières aux racines chrétiennes, proposant une Europe du Club Med' et assurant : « le moment viendra, nous gouvernerons le pays… »
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Bellamy à Besançon : « L’Europe est un poumon pour un nouvel équilibre dans la mondialisation »
En meeting avec Laurent Wauquier, Christine Bouquin, Arnaud Danjean, Annie Genevard et Jacques Grosperrin devant 700 personnes venues de toute la Bourgogne-Franche-Comté, la tête de liste LR pour les élections européennes, François-Xavier Bellamy défend « la tradition chrétienne » de l'Europe, un oeil sur l'extrême-droite en parlant immigration, l'autre sur LREM en parlant PAC et refondation…
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À Besançon, le Rassemblement National tente de séduire
En campagne européenne à Besançon, Gilbert Collard et Thierry Mariani ont présenté leur programme… et dit leur confiance quant à la « prise de conscience générale » du Vieux continent et de la France, les sondages plaçant en effet la liste d'extrême-droite en bonne place.
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Jacques Groperrin : « il ne faut pas que les Bisontins aient peur d’une rupture »
Le sénateur LR du Doubs, leader de l'opposition municipale de Besançon, dira en septembre s'il conduit la liste LR aux municipales de 2020, mais il s'y prépare. Issu d'une famille de gauche, impliqué dans le monde associatif, ce judoka agrégé d'éducation physique revendique « une vision ».
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Guy Lazar (PCF) : « la tête de liste ne peut pas être PS »
Pour le secrétaire départemental du PCF du Doubs « pas une force de gauche ne peut dire qu'elle y va toute seule, elle serait responsable de la division... »
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Anne Vignot (EELV) : « je porterai le dossier des Vaîtes différemment »
« On discute de comment y aller ensemble », explique l'adjointe à l'environnement que son parti a désignée tête de file l'été dernier, seule de tous les prétendants dans ce cas.
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Gabriel Viennet (Ensemble) : « la logique des élus EELV et PCF est préjudiciable à leur démarche… »
Pour cet ancien médecin hospitalier qui fut sur la liste A Gauche toute en 2014, « il y a très peu de chances d'avoir une liste unique de toutes les gauches » en 2020. Lucide, il constate la proximité des démarches « mais les uns et les autres ne font pas l'effort de s'entendre pour faire des ateliers communs. Ce serait l'occasion de constater des divergences… ou des convergences de points de vue... »
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Marcel Ferréol (Génération.s) : « On ne gagnera pas sans les militants et électeurs de la France insoumise »
L'ancien adjoint à la culture de Robert Schwint en est persuadé : « On ne refera pas liste et projet communs comme autrefois... C'est d'abord par le projet qu'on intéressera les gens... »
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Pierre Gainet (PS) : « si les militants insistent pour qu’on parle avec la France insoumise, on ira »
Le secrétaire de la section socialiste de Besançon ne veut pas entendre parler de renoncer au projet des Vaîtes. Ni d'un accord avec LREM...
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Besançon : six entretiens pour comprendre ce que veulent les partis de gauche pour 2020
Alors que les rencontres s'accélèrent entre partenaires potentiels dans la perspective des élections municipales, ils expliquent leurs divergences programmatiques et stratégiques, mais aussi ce qui pourraient les rapprocher. Points communs : l'accent mis sur le programme et l'implication citoyenne.
Claire Arnoux (LFI) : « on ne veut pas d'une soupe de logos »
Pierre Gainet (PS) : « si les militants insistent pour qu'on parle avec la France insoumise, on ira »
Anne Vignot (EELV) : « je porterai le dossier des Vaîtes différemment »
Guy Lazar (PCF) : « la tête de liste ne peut pas être PS »
Gabriel Viennet (Ensemble) : « la logique des élus EELV et PCF est préjudiciable à leur démarche »
Marcel Ferréol (Génération.s) : « on ne gagnera pas sans les militants et les électeurs de la France insoumise » -
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Besançon : la gauche n’est pas en ruines, mais en chantiers…
A vrai dire, les divergences ne sont pas nouvelles et de diverses natures. Avant d'entrer dans les détails du dernier couac, revenons quelques années en arrière pour comprendre comment on en arrive là. Unis en 2012 dans le Front de gauche, communistes et insoumis (qui ne s'appelaient pas encore ainsi) ont fait des choix stratégiques locaux opposés en 2014. Les premiers poursuivant l'alliance avec le PS et EELV derrière Jean-Louis Fousseret, les seconds faisant liste à part, tous revendiquant le sigle Front de gauche. Tous rangés en 2014 derrière Jean-Louis Fousseret, les socialistes sont aujourd'hui éparpillés entre ceux qui gardent une maison presque vide, ceux qui sont partis à Génération.s, ceux qui ont rejoint LFI ou s'en rapprochent, sans parler de ceux qui sont devenus macronistes, de fait hors du champ de la gauche même si certains s'en réclament encore. Une implosion du même type a fragmenté EELV où, parmi les restants, un rapprochement avec Génération.s a un temps été envisagé dans la perspective des élections européennes avant de faire long feu. La recomposition politique nationale a eu comme conséquence locale l'éclatement de la majorité municipale bisontine PS-EELV-PCF de 2014 en plusieurs étapes (ci-contre). Quel sera le prochain épisode ? -
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Municipales : Jacques Grosperrin (LR) se déclarera (ou pas) en septembre
Le sénateur va tenir des réunions jusqu'à l'été pour tester ses propositions.
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Myriam Lemercier (LREM) vole dans les plumes des candidats déclarés pour 2020
Elue municipale et départementale de Besançon, elle critique « ces potentiels candidats qui n'ont pas compris que les électeurs ne veulent plus de cette politique ! Prétendre qu'un homme serait celui qui détient la vérité sur le bon programme est stupide ». Elle trouve que « le mouvement des Gilets jaunes n'est pas négatif… » et répond à quelques questions sur Macron ou le hiatus institutions / travailleurs sociaux et associations sur la solidarité et les migrants.
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Un appel d’adhérent(e)s et d’élu(e)s de La République En Marche pour Eric Alauzet
Après l'appel de 19 anciens élus, voilà un appel de 24 militants et élus s'engageant avec le député LREM ex-EELV pour les municipales à Besançon.
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Municipales 2020 : Nicolas Bodin (PS) se déclare candidat
L'adjoint à l'urbanisme de Besançon proclame représenter « une alternative à la droite macroniste et à la droite républicaine ». Visant d'abord la place de « premier des socialistes » qui sera soumise au vote des adhérents le 28 mars, il entend ensuite conduire une liste d'union de la gauche. Et si elle ne se fait pas, il souhaite que le PS y aille tout seul...
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Nicolas Bodin : « le macronisme s’épuisera de lui-même »
C'est l'analyse de l'adjoint à l'urbanisme et président du groupe PS du conseil municipal de Besançon dans l'édito d'un bulletin où il explique que les difficultés de la majorité sont tempérées par le programme de 2014. Il défend le principe d'une liste d'union de la gauche pour les municipales de mars 2020, excluant une alliance avec LREM sauf dans le cas bien improbable d'un RN à 45%...
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Dix neuf anciens élus soutiennent Eric Alauzet
Le député LREM reçoit notamment l'appui de l'ancienne secrétaire d'Etat aux personnes âgées Paulette Guinchard, ainsi que de quelques élus des mandats de Robert Schwint...
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Collectivités - Elections - Politique
Jean-Louis Fousseret : « Ce n’est pas le bazar dans mon camp… »
Le maire LREM de Besançon entendait détailler les chantiers et projets de 2019. Mais présentant sa conférence de presse comme une « rentrée politique », il a laissé entendre qu'en cas de « danger pour l'ADN de la ville », il pourrait revoir sa résolution de ne pas briguer un quatrième mandat, tout en se défendant d'une défiance envers son parti...
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Elections - Partis - Politique
Ian Brossat (PCF) : « Le seul moyen de s’en sortir, c’est de rompre avec les traités… »
En meeting à Besançon, l'adjoint parisien au logement, tête de liste aux élections européennes, a défendu des arguments pour convaincre de voter le 26 mai prochain un électorat enclin à considérer que le parlement européen « ne sert à rien ». Il défend une alternative aux libéraux et à l'extrême-droite pour combattre les « deux maux » de l'Union : l'austérité et la concurrence.
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Collectivités - Elections - Politique
Eric Alauzet dévoile un secret de polichinelle : il est candidat à Besançon
Le député LREM s'est déclaré formellement candidat à la mairie et à la présidence de l'agglo. Situant l'annonce de sa décision dans le contexte de la « crise majeure » des Gilets jaunes, il prend la posture de celui qui « prend ses responsabilités » au cœur de « la tempête ». Le moment est mal choisi selon l'adjoint Yves-Michel Dahoui qui y voit « inconscience et cynisme ».
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Elections - Partis - Politique
La France insoumise lance sa campagne européenne à Besançon
Cinq candidats de Franche-Comté, Bourgogne et Alsace ont notamment fait le lien entre les deux prochains scrutins en articulant leur critique du fonctionnement de l'Union avec les compétences des municipalités de plus en plus impactées par les règles adoptées à Bruxelles ou Strasbourg. Il a aussi été question des défections au sein du mouvement et ses relations avec la presse...
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Elections - Partis - Politique
Alexandra Cordier (LREM du Doubs) : « un plan d’actions, un calendrier, une méthode »
La référente départementale du parti présidentiel pour le Doubs présente la rentrée politique des « progressistes » ce week-end à Besançon. C'est le top départ de deux campagnes électorales européennes et municipales dont l'échéancier est déjà contrarié par Eric Alauzet qui « s'affranchit du calendrier du mouvement ».
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Besançon : la droite peut-elle gagner les municipales de 2020 ?
L'hypothèse aujourd'hui plausible d'une quadrangulaire au second tour permet d'envisager de nombreux scénarios. Dont la présence d'une liste de LREM-centre-droit conduite par l'ancien écologiste Eric Alauzet. Mais la gauche dont il se réclame encore un peu, n'a pas perdu d'avance. La preuve, elle commence à préparer l'échéance.
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Une ville qui vote à gauche à tous les scrutins…
Depuis 1977, à Besançon, la droite n'a gagné qu'un premier tour local lors des municipales de 1983, avant de perdre de peu le second... La ville vote à gauche à tous les scrutins : législatives, présidentielles, régionales, départementales, européennes... La droite a aussi gagné le premier tour de la présidentielle et des législatives de 2007, mais perdu le second...
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Yves-Michel Dahoui exhorte la gauche bisontine à se parler
Dans un « appel à toute la gauche bisontine », l'adjoint à l'éducation anticipe une alliance LREM-UDI-MODEM, implore le PS, EELV, Générations.s, le PCF et la France Insoumise « d'accepter a minima... de se parler » et demande au PS de « se rendre compte qu'il n'est plus hégémonique et doit composer ».
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Ian Boucard confirmé député LR avec 15,17% des inscrits
Sa première élection avait été invalidée. Le député de la première circonscription du Territoire de Belfort bat largement le candidat macroniste.
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Belfort : un second tour qui fleure bon le bipartisme à l’américaine…
Le sortant LR invalidé pour coup tordu, Ian Boucard, arrivé largement en tête du premier tour, sera opposé au macroniste Christophe Grudler qui a perdu plus de la moitié de ses électeurs de juin 2017 !
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Collectivités - Elections - Etat - Politique
Sénatoriales : trop plein de candidatures à droite dans le Jura
Le soir du scrutin du 24 septembre, s'ouvrira le jeu de chaises musicales de la redistribution des places au conseil départemental où sept élus sont candidats...
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Franche-Comté : sept députés LREM, quatre LR, un UDI
Tandis que 448.998 électeurs franc-comtois s'abstenaient, 384.048 votaient pour le second tour des législatives dont 42.068 pour aucun candidat. Quatre des douze députés ont été élus avec moins de 50% des voix des votants... La mieux élue, Annie Genevard, l'a été avec 26,6% des inscrits... La 5e république est mal en point. La région n'a plus qu'un seul parlementaire de gauche, le sénateur PS Martial Bourquin...
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Le soutien de Pascal Routhier à Fannette Charvier
« Je me sens proche de la méthode Macron que j'éprouve depuis des années à Saint-Vit », explique-t-il.
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Elections - Partis - Politique
Fannette Charvier : « ma campagne n’est pas dirigée par le maire… »
La candidate macroniste sur la première circonscription du Doubs est accompagnée de très près par l'entourage de Jean-Louis Fousseret. Une bonne raison pour que Laurent Croizier n'appelle pas à voter pour elle. La réunion de soutien animée par Jean-Marie Cavada n'a réuni qu'une soixantaine de personnes mercredi soir.
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Elections - Partis - Politique
Barbara Romagnan : « les députés ne sont pas les attachés de presse du président »
Passée par un trou de souris pour arriver au second tour, la députée frondeuse sortante a reçu le soutien de Jean-Luc Mélenchon. Du coup, les insoumis de la première circonscription du Doubs, qui s'étaient réunis lundi soir, ont mardi soir appelé à « faire barrage à Madame Charvier »... De son côté, Pascal Routhier (DVD) soutien la candidate LREM.
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Besançon : les macronistes en tête dans 57 bureaux de vote sur 67
L'analyse du premier tour du scrutin législatif montre que les candidats de gauche « d'opposition », tout en étant avec 28,3% derrière les candidats de la « majorité présidentielle » (39,8%), représentent une force importante que les perspectives stratégiques et... municipales risquent de continuer à diviser...
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Législatives : la gauche d’opposition laminée en Franche-Comté
Au second tour dans les douze circonscriptions de Franche-Comté face à 7 LR, 3 FN, 1 UDI et 1 PS, les candidats macronistes sont en position favorable dans au moins huit d'entre elles, et peuvent en espérer davantage : même Annie Genevard n'est pas à l'abri d'une surprise dans le Haut-Doubs. Seule rescapée à gauche, Barbara Romagnan est en danger et doit mobiliser insoumis et abstentionnistes pour l'emporter face à l'inconnue Fannette Charvier.
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Législatives : le couac des envois se retrouve dans le « code 7 »
Des électeurs de Besançon ont voté pour des candidats qui ne se présentaient pas dans leur circonscription après avoir reçu par erreur du matériel électoral destiné à la circonscription d'à côté... Exemple dans les bureaux de vote de Montjoux, dans la première circonscription, où certains ont voté Alauzet (photo), Fagaut ou Arnoux candidats dans la seconde... La préfecture doit quelques explications.
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Législatives : les douze circonscriptions comtoises passées au crible
Le premier tour de la présidentielle laissait augurer de huit quadrangulaires et quatre triangulaires au second tour en reprenant mécaniquement le seuil de 12,5% des inscrits pour se maintenir, mais la moindre participation va déboucher sur davantage de duels. Le nombre élevé de candidats rend le scrutin des 11 et 18 juin incertain. La concurrence systématique à gauche risque d'éliminer la plupart de ses candidats dès le premier tour.
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Erreur d’adressage de matériel électoral à Besançon
Des bulletins et professions de foi de la seconde circonscriptions ont été envoyés à des électeurs inscrits dans la première... La préfecture annonce un réadressage « dans les meilleurs délais ».
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Jean-Luc Mélenchon superstar à Lons-le-Saunier
Avant de s'exprimer devant 500 à 600 personnes rassemblées sous la pluie lors d'un meeting en plein air, le quatrième homme de la présidentielle a présenté les candidats Insoumis de Bourgogne-Franche-Comté aux législatives à l'issue desquelles il se voit « Premier ministre ou président de groupe ». Il pensait que les « socialistes respectables » quitteraient le PS après la présidentielle et promet : « le moment venu, nous tendrons la main ».
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Fannette Charvier, une novice en campagne électorale
La candidate de LREM aux législatives dans la première circonscription du Doubs était lycéenne le 21 avril 2002 quand Jean-Marie Le Pen se qualifia pour le second tour. Elle se demandait alors « ce qui dysfonctionnait dans la société pour avoir ce résultat ». En 2016, elle a rejoint Emmanuel Macron après son départ du gouvernement et se dit « économiquement de droite et socialement de gauche ». Nous l'avons rencontrée à l'occasion d'une réunion publique à Miserey-Salines.
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Culture - Elections - Politique - Presse
Edwy Plenel : « on a tous rendez-vous avec notre époque »
Le fondateur de Médiapart vient parler de la république à l'invitation de Barbara Romagnan, jeudi 1er juin à Besançon. Anti-présidentialiste, il craint l'hégémonie d'une assemblée godillot, salue la « fidélité » de la candidate à ses engagements, et se veut « lanceur d'alerte » face à une gauche éclatée.
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Elections - Partis - Politique
Tiens, la gauche bisontine s’est reparlé…
« On travaille pour l'avenir », explique Michel Chopard, de l'association Espace de Dialogue des Gauches et de l'Ecologie qui organisait mardi soir un débat où représentants du PCF, du PS, d'EELV et de la France insoumise ont dit leurs vérités et « échangé sans virulence ».
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Elections - Partis - Politique
Denis Sommer : « les ordonnances ne contredisent pas le débat parlementaire »
Candidat LREM dans la troisième circonscription du Doubs, l'ancien syndicaliste vient de quitter le PS. Il entend porter au niveau national le dispositif « former plutôt que chômer » qu'il a contribué à bâtir avec les partenaires sociaux quand il était premier vice-président du Conseil régional de Franche-Comté.
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Elections - Partis - Politique
Alain Chrétien : « si le droit du travail est réformé par ordonnances, on sera tous derrière »
Député LR sortant, le maire de Vesoul est cette fois suppléant de la candidate, non investie par le parti de droite, Marie Breton dans la première circonscription de Haute-Saône. Il n'est « pas dans la majorité présidentielle » mais « d'accord avec les propositions économiques et sociales d'Emmanuel Macron ».
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Gabriel Amard en appelle aux « humanistes de cœur »
Le candidat de la France insoumise dans la première circonscription du Jura estime que son mouvement peut être au second tour si les électeurs de Mélenchon à la présidentielle restent mobilisés. Il table sur une qualification dans 450 circonscriptions sur 577.
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Elections - Partis - Politique
Sidonie Marchal à Denis Sommer : « si c’est pour évoquer le renouveau (…) ne m’appelle pas… »
La candidate investie par le PS est politiquement furieuse contre celui investi par LRM
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Elections - Partis - Politique
Christophe Lime : la division est « suicidaire »
Le candidat communiste dans la deuxième circonscription du Doubs s'exprimait samedi 13 mai lors d'un débat à Besançon. Il a expliqué souhaiter une alliance avec les Insoumis et le PCF pour les législatives... C'est mal parti...
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Eric Alauzet : un rassemblement pour… une photo !
C'est « prématuré » d'évoquer un éventuel soutien de La République en marche !...
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Elections - Partis - Politique
Union PCF-PS-EELV aux législatives dans le Jura
Gauche plurielle ou sauve-qui-peut ? Les soutiens de Benoît Hamon s'allient avec les communistes qui regrettent déjà d'avoir parrainé la candidature présidentielle de Mélenchon. Leur alliance concurrence de fait les candidats insoumis. La campagne s'annonce sans merci à gauche.
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Denis Sommer et Frédéric Barbier investis par République en marche
Le parti présidentiel n'a (pour l'instant) désigné personne face à Eric Alauzet. Sylvie Le Hir, vice-présidente LR du Doubs, affrontera Annie Genevard.
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Législatives algériennes : on a voté à Besançon mais…
Impossible de connaître la participation, les résultats ou même le nombre d'électeurs inscrits au consulat où le bureau de vote était ouvert les 28 et 29 avril et le 4 mai. Militants ou simples citoyens ont effectué leur devoir de citoyens avec fierté. Mais « nous sommes dans un théâtre d'ombre », explique l'universitaire bisontin Jacques Fontaine.