législatives 2017
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Elections - Partis - Politique
Fannette Charvier : « ma campagne n’est pas dirigée par le maire… »
La candidate macroniste sur la première circonscription du Doubs est accompagnée de très près par l'entourage de Jean-Louis Fousseret. Une bonne raison pour que Laurent Croizier n'appelle pas à voter pour elle. La réunion de soutien animée par Jean-Marie Cavada n'a réuni qu'une soixantaine de personnes mercredi soir.
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Besançon : les macronistes en tête dans 57 bureaux de vote sur 67
L'analyse du premier tour du scrutin législatif montre que les candidats de gauche « d'opposition », tout en étant avec 28,3% derrière les candidats de la « majorité présidentielle » (39,8%), représentent une force importante que les perspectives stratégiques et... municipales risquent de continuer à diviser...
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Législatives : la gauche d’opposition laminée en Franche-Comté
Au second tour dans les douze circonscriptions de Franche-Comté face à 7 LR, 3 FN, 1 UDI et 1 PS, les candidats macronistes sont en position favorable dans au moins huit d'entre elles, et peuvent en espérer davantage : même Annie Genevard n'est pas à l'abri d'une surprise dans le Haut-Doubs. Seule rescapée à gauche, Barbara Romagnan est en danger et doit mobiliser insoumis et abstentionnistes pour l'emporter face à l'inconnue Fannette Charvier.
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Législatives : les douze circonscriptions comtoises passées au crible
Le premier tour de la présidentielle laissait augurer de huit quadrangulaires et quatre triangulaires au second tour en reprenant mécaniquement le seuil de 12,5% des inscrits pour se maintenir, mais la moindre participation va déboucher sur davantage de duels. Le nombre élevé de candidats rend le scrutin des 11 et 18 juin incertain. La concurrence systématique à gauche risque d'éliminer la plupart de ses candidats dès le premier tour.
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Fannette Charvier, une novice en campagne électorale
La candidate de LREM aux législatives dans la première circonscription du Doubs était lycéenne le 21 avril 2002 quand Jean-Marie Le Pen se qualifia pour le second tour. Elle se demandait alors « ce qui dysfonctionnait dans la société pour avoir ce résultat ». En 2016, elle a rejoint Emmanuel Macron après son départ du gouvernement et se dit « économiquement de droite et socialement de gauche ». Nous l'avons rencontrée à l'occasion d'une réunion publique à Miserey-Salines.
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Tiens, la gauche bisontine s’est reparlé…
« On travaille pour l'avenir », explique Michel Chopard, de l'association Espace de Dialogue des Gauches et de l'Ecologie qui organisait mardi soir un débat où représentants du PCF, du PS, d'EELV et de la France insoumise ont dit leurs vérités et « échangé sans virulence ».
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Denis Sommer : « les ordonnances ne contredisent pas le débat parlementaire »
Candidat LREM dans la troisième circonscription du Doubs, l'ancien syndicaliste vient de quitter le PS. Il entend porter au niveau national le dispositif « former plutôt que chômer » qu'il a contribué à bâtir avec les partenaires sociaux quand il était premier vice-président du Conseil régional de Franche-Comté.
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Gabriel Amard en appelle aux « humanistes de cœur »
Le candidat de la France insoumise dans la première circonscription du Jura estime que son mouvement peut être au second tour si les électeurs de Mélenchon à la présidentielle restent mobilisés. Il table sur une qualification dans 450 circonscriptions sur 577.
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Sidonie Marchal à Denis Sommer : « si c’est pour évoquer le renouveau (…) ne m’appelle pas… »
La candidate investie par le PS est politiquement furieuse contre celui investi par LRM
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Christophe Lime : la division est « suicidaire »
Le candidat communiste dans la deuxième circonscription du Doubs s'exprimait samedi 13 mai lors d'un débat à Besançon. Il a expliqué souhaiter une alliance avec les Insoumis et le PCF pour les législatives... C'est mal parti...
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Eric Alauzet : un rassemblement pour… une photo !
C'est « prématuré » d'évoquer un éventuel soutien de La République en marche !...
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Eric Alauzet au-delà de la synthèse Hamon-Macron
Elu député écologiste en 2012, candidat investi par le PS et EELV en juin 2017, il est considéré comme Macron-compatible et brigue l'investiture de République en marche. Son comité de soutien fait cohabiter des élus de tous bords. Le grand écart ? Plutôt une expérience parmi d'autres de la recomposition qui touche tous les camps.
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Claire Arnoux : « la dynamique de la France insoumise va se poursuivre »
La candidate aux législatives à Besançon se défend d'une quelconque complaisance à l'égard du FN : « les mêmes qui nous font la morale ont fait le ministère de l'identité nationale ou proposé la déchéance de nationalité... »
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Laurent Croizier : « le barrage du clivage gauche-droite se fissure »
Le président du MoDem du Doubs, candidat aux législatives contre Barbara Romagnan, vient de créer un comité de soutien à Emmanuel Macron. En doublon avec la structure départementale d'En Marche ? Il s'en défend et se veut acteur de la « recomposition politique qui vient ».
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Christophe Lime (PCF) candidat aux législatives à Besançon
C'est l'un des adjoints solides du maire de Besançon. Il affrontera notamment le sortant Eric Alauzet, le jeune loup de la droite Ludovic Fagaut, et peut-être l'insoumise Claire Arnoux. La stratégie communiste consiste à soutenir Jean-Luc Mélenchon tout en donnant de l'importance aux législatives pour lesquelles le PCF vise un partage des circonscriptions avec Ensemble et la France insoumise.
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