Elections
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GCES : « Battre la droite, l’extrême droite et manifester contre la loi Macron »
Le Front de gauche est partagé sur l'attitude quant au second tour... -
La majorité sortante PS-DVG appelle à voter UMP dans trois cantons de Haute-Saône
La majorité sortante se retire dans l'un où elle était en capacité de se maintenir -
Tours de passe-passe
Il ne faut pas se fier aux résultats fournis par le ministère de l'Intérieur et les préfectures. Non pas que des fraudes soient soupçonnées, mais des manipulations d'étiquettes minimisent, par exemple dans le Jura, la victoire de la droite républicaine et la percée d'une opposition de gauche alternative. - Separateur
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Elections départementales : le second tour incertain dans le Doubs
L'Union de la droite et du centre est en tête (32,68%), devant le FN (29,4%) et la majorité sortante PS-DVG (27,23%). Le Front de gauche (5,2%) et les écologistes (3,35%) font beaucoup plus là où ils présentent des candidats. Les projections de la préfecture pour dimanche prochain font état de neuf cantons à gauche, huit à droite et deux incertains. Le FN pourrait gagner un canton. -
Départementales : le Jura va repasser à droite
Le seul binôme de la région est élu à Champagnole où le maire Clément Pernot (UDI), élu avec Sylvie Vermeillet, sera peut-être le successeur de Christophe Perny (photo ci-contre), sèchement devancé à Lons. Majorité citoyenne ne sera présente à aucun second tour, le FN y sera dans douze cantons sur seize... -
Territoire-de-Belfort : second tour serré
Droite et gauche peuvent chacune espérer l'emporter dimanche prochain, mais une égalité est possible avec l'éventualité d'un canton basculant vers le FN. Dans cette optique, les électeurs de gauche peuvent-ils être indifférents au duel UMP-MoDem de Belfort-3 ? - Separateur
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Haute-Saône : la gauche partie pour rester aux commandes
Le PS et ses alliés sont en position pour remporter dix ou onze des dix-sept cantons lors du second tour qui verra neuf triangulaires, quatre duels PS-FN, trois UMP-FN dont deux à Vesoul, et un seul classique droite-gauche. Frédéric Burghard (photo) devrait rester dans l'opposition. -
Elections départementales : tous les candidats en Franche-Comté
Elles ont lieu les 22 et 29 mars dans tous les cantons. C'est une nouveauté car auparavant, ils étaient renouvelés par moitié tous les trois ans. Autres changements : la plupart des cantons sont redécoupés et les candidats se présentent par binômes paritaires. -
Yves Krattinger : « des dossiers comme la Planche des Belles filles, j’en redemande ! »
Avant un léger malaise jeudi 19 mars, le président socialiste sortant du Conseil général de Haute-Saône nous annonçait il y a une semaine faire campagne « comme un outsider »... - Separateur
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Jean-François Longeot ne veut pas d’arbitrage du FN
Le sénateur-maire UDI d'Ornans souhaite que la droite se positionne avant les élections départementales sur quoi faire en cas d'égalité droite-gauche au soir du second tour. -
Besançon 4, le canton de tous les paradoxes
Avec sept candidatures, une primaire à droite, une concurrence interne au Front de gauche, des secteurs urbains sociologiquement contrastés, un territoire qui va de la promenade Micaud à l'échangeur autoroutier de Chaudefontaine, c'est le canton le plus disputé de toute la région. Moments de campagne. -
Christophe Perny : « les gens sont dans le concret »
Le président socialiste du Conseil général du Jura tente de conserver son siège à Lons et la majorité départementale conquise en 2011. Il minimise la concurrence de Majorité citoyenne à sa gauche, et pointe le caractère fantômatique des candidats d'extrême droite. - Separateur
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Droit de vote : encore des progrès à accomplir
Selon l'INSEE, les 18-24 ans sont 82% en Franche-Comté contre 85% au niveau national... Les sans diplômes sont 72% contre 91% pour le premier cycle universitaire... -
Primaires à la gauche de la gauche à Besançon
La « Majorité citoyenne » et le Front de gauche sans le PG n'ont pas pu s'entendre pour ne pas se faire concurrence lors des élections départementales... Pour la première, les partis doivent s'effacer derrière des assemblées souveraines. -
Champagnole : un binôme Clément Pernot – Sylvie Vermeillet
La présidente de l'association des maires du Jura fait équipe avec un prétendant à la présidence de l'assemblée départementale Bouton abonnez-vous maintenant
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Collectivités - Elections - Politique
Anne Perrin : « travailler un projet commun en lâchant nos étiquettes »
Conseillère municipale d'opposition à Lons-le-Saunier et co-secrétaire d'EELV Jura-Sud, elle explique pourquoi et comment son parti s'est engagé dans le processus « Majorité citoyenne » pour les élections départementales des 22 et 29 mars. Une exception jurassienne en Franche-Comté. -
Elections départementales : Christophe Perny (PS) lance la campagne dans le Jura
A quatre jours de la clôture du dépôt des listes tous les camps n'ont pas encore tous leurs candidats... -
Frédéric Barbier élu avec 23,17% des inscrits : pas de quoi pavoiser
Législative partielle d'Audincourt : le candidat socialiste (51,43% des exprimés) a battu la candidate d'extrême droite avec 863 voix d'avance mais 3807 voix de moins que Pierre Moscovici en juin 2012. - Separateur
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Elections départementales : des candidats EELV dans trois cantons sur six à Besançon
Il s'agit de Besançon-2, Besançon-4 et Besançon-3 sur lequel le PS ne présente pas de candidats -
Frédéric Barbier (PS) en ballottage difficile face à une candidate fasciste
L'élection législative partielle d'Audincourt tend un piège à l'UMP, donne aux démocrates une grande responsabilité et met en évidence les impasses de la simplification médiatique. -
Législative d’Audincourt : l’abstention et le nombre de candidats, problèmes du PS
Dans la quatrième circonscription du Doubs, Frédéric Barbier reprend espoir avec le soutien de Manuel Valls en présence de plus de 1000 personnes. Les candidats Charles Demouge (UMP) et Vincent Adami (Front de gauche, MRC, NPA), qui a reçu le soutien de Syriza, font campagne sur leurs terrains respectifs. L'extrême droite est invisible mais dans tous les esprits. - Separateur
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La droite et le centre du Doubs ont 69 candidats pour les élections départementales
UMP, UDI et MoDem partent unis avec des « divers-droite » et des « sans étiquettes » à la reconquête du département perdu en 2004. Restent quelques suppléants à désigner, mais aussi à régler l'épineuse question de la présidence en cas de victoire... -
« Majorité citoyenne » dans le Jura : plus long et plus difficile que prévu
L'initiative lancée à l'automne par Claude Buchot et Gabriel Amard devrait déboucher sur des candidatures labélisées dans plusieurs cantons, mais la présentation des premières candidatures a été repoussée... -
La gauche de la gauche divisée dans le Doubs
Trois composantes du Front de gauche (PCF, Ensemble et Citoyens engagés) organisent le 27 janvier à Besançon une assemblée générale destinée à élargir leurs convergences en vue de constituer des listes aux élections départementales. Pendant ce temps, le PG fait bande à part, Nouvelle Donne est d'accord sur le texte mais ne va pas plus loin, EELV refuse la position du PG vis à vis du PS... - Separateur
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Doubs : les socialistes ont déjà 64 candidats pour les élections départementales
La majorité sortante PS/divers gauche a présenté vendredi 16 janvier la plupart de ses candidats à la presse. Les cantons d'Ornans et Frasne ne sont pas encore pourvus. Elle laisse le canton Besançon 3 aux écologistes. Le slogan : « un bilan, un projet, une équipe, un leader ». -
Ça bouge à gauche du PS dans le Jura
L'initiative « Appel pour une majorité citoyenne » est en train d'embarquer cinq partis politiques (EELV, PG, PCF, NPA, Nouvelle Donne) et des personnes engagés mais non encartées. Les candidats aux élections départementales doivent être désignés par des assemblées citoyennes dans un tiers des 17 cantons du département. -
Claude Buchot : « on sera force de proposition »
Le militant pour une agriculture paysanne ne cache pas les difficultés de l'entreprise, mais entend faire campagne sur des projets et une méthode. Bouton abonnez-vous maintenant
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Les communistes entre craintes de division et espoir de renouveau
Elu depuis 20 ans, Michel Giniès se représente sans le soutien du PCF qu'il a quitté. Un PCF qui doit encore valider son engagement dans l'Appel pour une majorité citoyenne où sa secrétaire fédérale Nelly Faton est personnellement impliquée... -
Gabriel Amard : « Christophe Perny se comporte comme un oligarque »
Secrétaire national du Parti de Gauche, il n'est pas candidat aux élections départementales mais il a inspiré la démarche citoyenne qui vise à fédérer à gauche du PS. Il voit évidemment au delà du scrutin des 22 et 29 mars. -
Treize candidats à la législative partielle pour remplacer Pierre Moscovici
Premier tour le 1er février, second tour le 8 - Separateur
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Elections départementales dans le Doubs : les préparatifs d’une campagne poussive
Les augures nationales prédisent le retour de la droite en mars, 11 ans après la victoire des socialistes. Localement, ces derniers ne cachent pas que ce sera « difficile » et partent relativement unis. L'UMP est partagée entre la prudence des anciens et l'optimisme des nouveaux. -
Présidence de la grande région : la campagne à droite lancée un an avant par Alain Joyandet
L'ancien ministre de Sarkozy s'est déclaré candidat au grand dam de François Sauvadet -
Sénat : la droite gagne cinq sièges sur six en Franche-Comté
Bourquin (PS), Longeot (UDI) et Grosperrin (UMP) élus sénateurs du Doubs. Joyandet et Raison (UMP) élus en haute-Saône, Perrin (UMP) élu dans les Territoire-de-Belfort. - Separateur
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Elections sénatoriales : six listes dans le Doubs
Deux des trois sortants ne se représentent pas : l'ancien président (UDF) du Conseil régional Jean-François Humbert, et le président socialiste du Conseil général, Claude Jeannerot, écarté par un vote des secrétaires de sections au profit du maire d'Audincourt, Martial Bourquin. Ce dernier tentera de sauver les meubles, et son siège, ce qui ne sera […] -
Sénatoriales : Martial Bourquin préféré à Claude Jeannerot par les grands électeurs socialistes
Sénateur sortant du Doubs, le maire d'Audincourt Martial Bourquin conduira la liste socialiste aux élections sénatoriales du 28 septembre. Les quatre autres candidats de la liste sont Marie-Noëlle Schoeller (ancienne première adjointe au maire de Besançon), Arnaud Marthey (maire de Baume-les-Dames), Karine Grosjea (conseillère municipale de Pontarlier) et Hervé Groult (adjoint au maire de Chalezeule). […] -
FN : arrêtez de vous faire peur !
L'extrême-droite à 25 %, voire 28,8 en Franche-Comté : des commentateurs sont fascinés. Un Français sur quatre, ajoutent-ils mi inquiets mi gourmands. Oui mais voilà, un électeur sur quatre quand six n'ont pas voté, cela fait un sur dix. 12,8% des inscrits, c'est un citoyen comtois sur huit ; 6,9%, c'est un Bisontin sur quatorze... - Separateur
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Eric Alauzet regrette que EELV ne soit plus au gouvernement
Le député de Besançon Eric Alauzet (EELV) regrette que son parti ait décidé de ne pas participer au gouvernement de Manuel Valls. Il explique dans un communiqué qu'il vaut toujours mieux « prendre ses responsabilités » afin d'être en situation de pouvoir peser, « même si c'est difficile »… Interrogé avec d'autres parlementaires d'EELV par […] -
Collectivités - Elections - Politique
Besançon : Jean-Louis Fousseret réélu à la majorité relative
La liste PS-EELV-PCF conduite par le maire sortant Jean-Louis Fousseret a remporté le second tour avec 47,39% des voix contre 44,41% à Jacques Grosperrin (UMP-UDI-Modem) et 8,2% au FN qui perd plus de 1000 voix par rapport au premier tour alors que plus de 2000 électeurs de plus ont voté. -
Second tour des municipales : consignes et soutiens à Besançon
Jean-François Humbert, hospitalisé à la suite d'un malaise, n'a donné aucune consigne de vote pour le second tour de l'élection municipale de Besançon, mais il fallait s'y attendre, plusieurs de ses colistiers ont apporté leur soutien personnel à Jean-Louis Fousseret. Il s'agit notamment de la numéro 2 de la liste, Nathalie Wolf, de Laurent Decol, […] Bouton abonnez-vous maintenant
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Ruptures bisontines
Frank Monneur a annoncé vouloir discuter avec Jean-Louis Fousseret et Jacques Grosperrin d'une éventuelle fusion en vue du second tour de l'élection municipale de Besançon. Pour le maire sortant, le fait même que Monneur ait discuté avec le candidat de droite, est une bonne raison de lui fermer la porte. Une autre est la rupture humaine entre les deux hommes. Quant au Front de gauche, en réclamant six places éligibles et la constitution d'un groupe autonome dans une éventuelle fusion, il a lui-même donné les arguments d'un refus de Jean-Louis Fousseret. La rupture est politique. -
Jean-Louis Fousseret en ballottage favorable à Besançon
Le maire sortant PS obtient 33,63% des voix et devance de 721 voix Jacques Grosperrin (UMP) qui a réalisé 31,64%. Il y aura une triangulaire, le FN pouvant se maintenir avec 11,76%. Deux listes de gauche (Girod et Monneur) ont la possibilité théorique de fusionner... avec la liste Fousseret. Le sénateur Humbert fait 4%. Dans la région, six villes passent de gauche à droite dès le premier tour, une de droite à gauche... -
Mélenchon veut faire de Besançon une «capitale de la résistance à l’austérité»
Jean-Luc Mélenchon est venu soutenir la liste «A Gauche toute, place au peuple» lors d'un meeting mercredi 12 mars devant 600 personnes. Les tenants de «l'opposition de gauche», membres d'un Front de Gauche localement divisé, ont présenté leur programme. Les «solfériniens», Pierre Moscovici en tête, sont dans le collimateur. - Separateur
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Dilemme et tactique à Besançon
Avec dix listes, les électeurs bisontins n'ont jamais eu autant le choix, même si certains doivent être sacrément embarrassés. Les électeurs de droite ou du centre qui n'aiment pas Fousseret n'ont pas trop de problèmes : ils opteront pour les listes Grosperrin ou Humbert s'ils pensent que l'un ou l'autre peut faire un maire acceptable ou honorable. -
Besançon : les blogs font le buzz mais…
« Affaire » du blog-blague de potache de l'épouse d'un conseiller technique de Jean-Louis Fousseret : tout se passe comme si Jacques Grosperrin voulait régler son compte à un ancien journaliste de L'Est Républicain qui ne l'a pas ménagé. La tête de liste UMP a été soutenue chaleureusement par le député Modem Jean Lassalle devant plus de 300 personnes lundi soir. -
Raoul Juif : «je gagnais plus avant d’être conseiller général»
Pourquoi avoir laissé votre mandat de premier adjoint au maire de Lure après votre élection au conseil général ? Par conviction anti-cumul ? C'était ma conviction initiale. Dans le problème du cumul, il y a plusieurs éléments. Le cumul génère des heures et des heures de travail, de nombreuses réunions. - Separateur
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Le cumul des mandats dans le Doubs
Quels autres mandats exercent les conseillers régionaux et généraux ainsi que les maires des communes à partir de 4000 habitants et les parlementaires ? Tentative de recensement pour le seul département du Doubs. -
Elections - Partis - Politique
Le Modem annonce une liste aux municipales à Besançon
Julie Baverel, la nouvelle présidente départementale explique qu'elle ne pourrait pas travailler avec Jacques Grosperrin (UMP) et que Philippe Gonon (UDI, ex Modem) est déçu de ne pas être parti avec davantage de militants. -
Philippe Gonon, tête de liste UDI à Besançon
Elu en 2008 à la tête d'une liste MoDem, ce jovial et brillant gérant de sociétés dans le contrôle thermique et la rénovation énergétique vient d'adhérer à l'UDI créée par Jean-Louis Borloo. Il explique son revirement européen, sa défiance envers l'UMP, les grands axes d'un programme qu'il présentera en janvier 2014. - Separateur
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Elections - Partis - Politique
La gauche peut-elle conserver Belfort ?
La gauche a-t-elle une chance de conserver Belfort aux municipales de 2014 ? La moue de Denis Sommer, premier vice-président du Conseil régional et maire de Grand-Charmont, en dit plus long qu'un grand discours. A entendre la droite, ce serait plié. -
Belfort : la proposition de Damien Meslot à Christophe Grudler
Le député UMP Damien Meslot et le conseiller général MoDem Christophe Grudler se sont rencontrés lundi soir pour parler des élections municipales à Belfort. Damien Meslot a proposé une liste commune dont Christophe Grudler prendrait la tête et choisirait un tiers des membres ainsi que les adjoints, l'UMP en ayant les deux tiers et se […]