chronique
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Avortement Liberté
Pendant la campagne du référendum irlandais pour le droit à l'interruption volontaire de grossesse. Le sociologue et anthropologue Jean-Michel Bessette analyse l'interdiction de facto de l'avortement au Texas par la cour suprême états-unienne. Dans de nombreuses cultures, le nouveau-né n'existe comme être social qu'après certains rites symboliques. « On pourrait dire de façon synthétique que c’est le principe de reconnaissance qui ouvre au petit d’homme la voie de l’humanité. » -
Adrien Nardin, un Communard franc-comtois, déporté en Nouvelle-Calédonie
L’Orne (d’autres navires de la même série font le même voyage : le Var, le Calvados…) Le périple dure quatre mois ! Né à Voray-sur-l'Ognon en 1833 dans une famille partie en 1850 à Paris, il est manœuvre journalier quand il participe à l'insurrection et s'engage dans l'armée de la Commune. Privé de droits civiques, il est déporté lors d'un éprouvant périple en bateau de quatre mois qui emmène le cinquième convoi des proscrits à Nouméa. Il mourra quatre ans plus tard à l'hôpital... -
Culture - Economie - Edition - histoire - Industrie - Politique - Société civile - Syndicats
Opening the gate, quand un historien américain se penche sur le conflit LIP
Magistral ! Publié en anglais récemment (Opening the Gates. The Lip Affair, 1968-1981, Verso 2018), voilà enfin la contribution indispensable à la compréhension de ce conflit du travail majeur de la fin des années 70. En effet, au fil des années, le nombre de mémoires, de thèses, de livres, de films, de pièces de théâtre ….), n’a cessé de se poursuivre, sans que l’on ne dispose pour autant d’un texte présentant une synthèse de ce conflit. Rappelons en quelques mots en quoi consiste « l’affaire Lip » titre retenu pour l’édition française.
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Culture - Environnement - Idéologie - Littérature - Philosophies - Politique - Société - Société civile
Dix ans pour bâtir une civilisation nouvelle ? Dix ans pour écologiser la société ?
Il nous reste peut-être une dizaine d'années pour agir de façon drastique, si nous voulons sauver la planète qui nous porte, si nous voulons sauver l'Humanité. Dominique Bourg, philosophe, fait un retour sur les raisons historiques, sociales, politiques, économiques... qui nous conduisent à notre perte, à notre autodestruction. Il ne fait pas que constater. 35 propositions d'action élaborées avec 6 autres chercheurs nous sont faites. Dont beaucoup sont radicales, en réponse à la radicalité de la catastrophe annoncée.
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De la satire à la poésie
Un enlèvement. Un enlèvement ? Il n'y en a pas dans ce roman, une satire d'une famille bourgeoise parisienne en vacances à Royan. Une vie un peu ennuyeuse, organisée autour de la compétition (sportive, du savoir...), Une famille branchée sur les fringues branchées et connectée à tout ce qui permet d'être connectés... à quoi, au juste ? Une famille qui connait tout des séries, qui lit La fille du train... Le seul personnage sympathique, intrigant, c'est le plus jeune des deux enfants, Louis. Il creuse des trous de plus en plus profonds dans le sable de la plage. Il prépare son évasion de cette famille parisienne bourgeoise, branchée, connectée. Pourquoi ce titre, Un enlèvement ?
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Covid-19 - faire face - Philosophies - Santé - Société
Reconnaissance des familles et réveils en réanimation (7)
Infirmière volontaire pour être renfort face à la pandémie au CHU de Besançon, Aline n'avait jamais travaillé en réanimation. Alors que les admissions diminuent régulièrement, elle a terminé sa mission. Sa septième chronique évoque une dimension fondamentale et rarement mis en avant du métier de soignant.e : les liens avec les malades et leurs proches. « Nous sommes des passeurs de messages et d’émotions », écrit-elle...
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Trois femmes et un déconfinement/Jour 1, jour unique
Le confinement, c'est terminé ! La suite s'annonce rude ! Nous ferons le chemin ensemble, n'est-ce pas ?
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« L’odeur de la mort et du passé est tenace »
Myriam Madjidi raconte comment ses parents, communistes dans l'Iran de Kohmeiny, la contraignent à donner ses jouets aux enfants du quartier, avant de quitter leur pays. Une décision qui, principes communistes ou pas, meurtrit la petite fille. Une première déchirure qui laisse des traces indélébiles. C'est ensuite l'exil en France, la douleur de quitter sa grand-mère, ses amies… L'effacement de sa langue au profit d'une autre langue. C'est la prise de conscience de la torture. MARX et la POUPÉE est un récit en forme de puzzle, dont certaines pièces sont poétiques, d'autres brutales…
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Trois femmes et un confinement/Jour 53
L’esprit de résistance, nous en aurons besoin après le déconfinement...
Voici la dernière chronique de la grand-mère, de la mère et de la petite fille confinée dans leur gynécée bisontin. Avant une ultime, très prochaine et unique chronique du déconfinement...
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Trois femmes et un confinement/Jour 46
Tout d’abord, permettez-moi de vous souhaiter un joli premier mai. Cette année, plus encore que d’habitude, ce premier mai est le jour des premiers de corvée. Pas la fête du travail, non, la fête des travailleurs, ces fameux travailleurs mal payés et pourtant essentiels au fonctionnement, et même à la survie de notre société.
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Covid-19 - Culture - faire face
Trois femmes et un confinement/Jour 42
Après avoir lu ce qu’Anouk a écrit sur son amour pour les bars, les restaurants, les troquets, les caboulots, les estaminets, les bouchons, sans aller jusqu’aux boui-boui ni aux beuglants, ni aux bouges… je comprends les oiseaux.
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Covid-19 - faire face - Santé - Société
Les corps endormis et l’attente du réveil (5)
Infirmière volontaire pour être renfort face à la pandémie au CHU de Besançon, Aline n'avait jamais travaillé en réanimation. Dans cette cinquième chronique, elle parle de la technique et des patients avec humanité et simplicité, nous faisant pénétrer dans un univers dont on entend souvent parler sans arriver à toujours s'en faire une juste présentation…
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Trois femmes et un confinement /Jour 39
… Ces masques annoncés pour bientôt sont comme l’Arlésienne d’Alfonse Daudet. On en parle, on en parle, on ne les voit jamais. Alors chacune, ou chacun, bidouille son petit bout de tissu. Voilà ! Nous sommes dans le règne du bidouillage.
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Covid-19 - faire face - Santé - Société
Le professionnalisme et la disponibilité des soignants (4)
Infirmière volontaire pour être renfort face à la pandémie au CHU de Besançon, Aline n'avait jamais travaillé en réanimation. Elle raconte l'anticipation et l'organisation du travail, la crainte du manque de matériel, l'abstraction du vocabulaire statistique – « pics » ou « plateau » – pour celles et ceux qui ont vécu au contact des patients et se demandent s'il n'est pas trop tôt de diminuer la capacité d'accueil covid…
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“… et il pleura de honte, se sentant indigne, avili…”
Hommage à Luis Sepulveda.
Amazonie. El Idilio, un village au bord du Nangaritza. Un vieil homme, Antonio José Bolivar Proaño. S'il ne sait pas écrire, il sait lire. Il aime les romans qui parlent de l'amour, le vrai, celui qui fait souffrit. La forêt Amazonienne, ses animaux. Les Shuars, des indiens au cœur de cette nature sauvage dont ils connaissent les codes, les pièges… Une ocelote assoiffée de vengeance parce qu'un gringo lui a tué ses petits… Un duel entre le vieil homme et l'animal, qui se comprennent si bien...
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Trois femmes et un confinement /Jour 35
Oui mais voilà, la famille, on a beau ne pas aimer ça (j’entends par « la famille » son cortège de désagréments du quotidien et de contraintes d’un autre âge, car pour le reste, pour ce qui est des liens du cœur et du sang, Mimi est très « famille »), on a beau avoir autre chose à foutre, la famille est comme le réel, elle vous rattrape.
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Trois femmes et un confinement/Jour 32
Au final, j’ai pensé que ce discours était un discours de faux-cul… en espérant qu’il n’en était pas un… en craignant qu’il en soit bien un…
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Covid-19 - faire face - Santé - Société
Première nuit en réanimation: le doublage (3)
Infirmière volontaire pour être renfort face à la pandémie au CHU de Besançon, Aline n'avait jamais travaillé en réanimation.Elle raconte sa première nuit : « Deux patients nous sont attribués... On navigue entre les deux chambres, un relevé toutes les heures et un bilan toutes les trois heures... Un peu après minuit, l’une des machines sonne... 6h55 : je sors de l’hôpital, je respire l’air frais, c’est bon ce vent de liberté... »
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Covid-19 - entraide - faire face - Santé - Société
« On a besoin de vous et en réa vous ne serez jamais seule… » (2)
Volontaire pour être renfort face à la pandémie au CHU de Besançon, Aline n'avait jamais travaillé en réanimation. Après s'être demandée si elle serait « à la hauteur », elle a pris sa décision : elle raconte la formation spécifique accélérée qu'elle a suivie avec une vingtaine de collègues, infirmières comme elle. Quelques jours après, elle reçoit un appel : « vous êtes libre à partir de quand ? »
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« En frapper un, pour en éduquer cent ! »
Le même jour, en juin 2022, des hommes et une femme sont enlevés dans plusieurs pays. L'action est revendiquée par l'IVC, l'Internationale des Victimes du Capitalisme. L'affaire secoue les équilibres du monde entier. L'inspecteur-chef El Gordete, un flic proche de la pensée anarchiste, mène l'enquête pour l'Espagne.
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Trois femmes et un confinement/ Jour 28
« On peut quitter La Boucle grâce à sept ponts ou passerelles, que je franchis rarement. Mon psychanalyste dit que je fais partie de ces gens bien connus des psy bisontins, qui sont bouclés dans la Boucle... »
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Covid-19 - faire face - Santé - Société
Face au Covid-19, s’engager comme infirmière en renfort (1)
Infirmière de formation, Aline n'avait jamais travaillé en réanimation. Voulant prendre part à la lutte sanitaire du CHU de Besançon, elle s'est proposée comme renfort le 13 mars. Dans ce premier texte, elle explique ses premières appréhensions : « Serais-je à la hauteur ? Vais-je trouver ma place ? »
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Trois femmes et un confinement/Jour 25
Pour remonter aux racines de mon féminisme, il faudrait remonter loin, très loin… À Jojo, qui me disait quand j’étais petite « ce qui a libéré les femmes, c’est pas le droit de vote, c’est la machine à laver » mais qui me répétait de ne jamais dépendre d’un homme…
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Trois femmes et un confinement/Jour 23
Monsieur Macron, révisez votre Yuval Noah Harari ! On a besoin de savoir, on a besoin de comprendre, on est des êtres humains ! L’info c’est fondamental. Et là, ma lecture quotidienne du journal le monde me rappelle à la réalité : nous, on est la start up nation ! Donc le gouvernement communique sur des mesures de start up nation !
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Trois femmes et un confinement / Jour 21
Emmanuel Macron comprend chaque jour un peu plus l’importance du service public.
Je n’ai pas travaillé depuis 14 jours.
L’air de Paris n’avait pas été aussi propre depuis quarante ans.
On se rend compte qu’on peut vivre avec les mêmes trois T-shirt sans aucun problème. -
Trois femmes et un confinement/ Jour 18
Moi pourtant, c’est ce que j’aurais aimé entendre de nos dirigeants, ces derniers jours, et en particulier du ministre de l’éducation nationale. J’aurais voulu entendre : Oui, on a merdé. Ok, on a bousillé l’industrie, et le service public. Ok, la note est salée, mais on a compris que c’est important.
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Education - Justice - Recherche - Santé - Société
Enquête sur la rencontre de deux mondes : la prison et le soin
Incarcérés et gravement malades, des femmes et des hommes emprisonnés subissent une double peine. Certains sont proches de la mort. Comment cohabitent en prison des logiques contradictoires de prises en charge. Sont-ils détenus-malades ou malades-détenus ? L'anthropologue bisontine Aline Chassagne donne la parole à dix-sept d'entre eux, fruit d'un travail de cinq années de recherche dans cet univers particulier, la prison.
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Trois femmes et un confinement / Jour 17
Magari ! C'est mon mot préféré de la langue italienne : magari. Magari est un mot qui a plusieurs significations, un peu comme wesh, mais personnellement je préfère nettement magari à wesh, (même si wesh est un mot très futé et très rigolo)...
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Trois femmes et un confinement/Jour 15
Le choc, les ondes de choc… un chat...
S’il est collectif, le choc est aussi individuel. Il se ressent différemment suivant un nombre de facteurs liés à notre histoire personnelle. Le choc évoque quelque chose de violent. Et ce qui se passe depuis quelques mois est très violent. Le choc qui nous atteint de plein fouet génère de la violence, s’il génère aussi de la solidarité
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Trois femmes et un confinement/ Jour 14
Peur, colère, motivations... Je tombe le masque pour vous dire que oui, j’ai peur. Peur pour celles et ceux que j’aime, peur pour ceux que j’ai aimés... J’ai peur pour tous ceux que l’on envoie au front, sans masques, sans gants. Je pense aux soignants, aux caissières, aux éboueurs, aux livreurs… Je pense même aux policiers. Oui, ceux qui ont gazé, matraqué, éborgné…
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Trois femmes et un confinement/ Jour 13
Jour 13, non seulement nous confinons, mais aussi nous faisons une pause… La superstition n'a rien à voir dans cette décision. Un petit mot pour vous toutes et vous toutes, quand même...
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Trois femmes et un confinement /Jour 9
Si nous n'oublions pas la misère des autres et du monde, ce jour 9 aura quand même le parfum des cookies de Nina.
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Covid-19 - Culture - Littérature - Santé - Société
Trois femmes et un confinement /Jour 8
Jour où la question de la vie de famille/ en famille se pose...
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confinement - Covid-19 - Culture - Littérature - Santé - Société
Trois femmes et un confinement / Jour 7
« Hier j’ai commencé à avoir une toux sèche et le souffle court, et j’ai passé une très mauvaise nuit, avec des douleurs dans les membres, un mal de crâne qui paraît-il est semblable à une gueule de bois (moi qui n’ai jamais eu la gueule de bois je vois maintenant à quoi ça ressemble c’est pas rigolo)… »
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confinement - Covid-19 - Culture - Littérature - Santé - Société
Trois femmes et un confinement / Jour 6
Il va falloir tenir sur la longueur. Un marathon nous attend ! Alors aujourd'hui, jour 6, une pause.
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confinement - Covid-19 - Santé - Société
Trois femmes et un confinement/ Jour 5
Jour 5, ça se complique
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Trois femmes et un confinement / Jour 4
Comment revenir à nos récits en cours ? Et comment transformer ce que nous vivons, et qui prend beaucoup de place, en histoire ? Car le récit est une affaire de distance, une affaire de temps. Ce que nous vivons en ce moment, nous ne pouvons que le chroniquer, et c’est tout à fait différent.
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confinement - Covid-19 - Culture - Littérature - Santé - Société
Trois femmes et un confinement/Jour 3
Le plein, le vide. L’utile, l’inutile. L’essentiel, le futile… Je vais revoir le contenu de tous mes tiroirs, placards… Mais pas le contenu de MES bibliothèques. Là, c’est sûr, c’est de l’utile, de l’essentiel, du fondamental, du vital…
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confinement - Covid-19 - Culture - Littérature - Santé - Société
Trois femmes et un confinement/ Jour 2
Et puis tout d’un coup tout s’arrête. Ce n’est pas moi qui cale. C’est toute la France, c’est toute l’Europe. C’est même mondial. C’est une panne généralisée du système. Et là, on se rend compte à quel point on est fatigué. Tout à coup il n’y a plus une voiture dans les rues, c’est le silence. Tout à coup, on entend les oiseaux chanter… alors que le frigo n'a jamais été aussi rempli.
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confinement - Covid-19 - Culture - Littérature - Santé - Société
Trois femmes et un confinement / Jour 1
Trois femmes, une grand-mère, qui accueille sa fille et sa petite fille qui ont quitté Paris pour Besançon, obligées de partager leur quotidien face au coronavirus. Chaque jour, Mimi, Anouk et Nina vous racontent comment elles font face à ce confinement imposé. Amour vs névroses - humour vs conflit générationnel. Qui va gagner? Les paris sont ouverts !
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Education - Etat - Idéologie - Politique - Sécurité - Société
Une erreur de diagnostic peut conduire au pire
Au terme d'une enquête de cinq années menée dans les quartiers, en Syrie et dans les prisons, Hugo Micheron livre une analyse du phénomène jihadiste, en France tout particulièrement. Son travail s'appuie, entre autres, sur des entretiens menés auprès de quatre-vingt terroristes incarcérés. Il montre la cécité dont ont fait preuve les pouvoirs publics, les partis politiques… Il tord le cou à un certain nombre d'interprétations sur les causes, l'ampleur et la gravité du problème posé par les islamistes. Si le diagnostic est bien posé, mieux posé, sans doute peut-on encore éviter d'autres catastrophes.
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Arts plastiques et graphiques - Culture
Dancing Machines, représentation du corps
Plusieurs artistes mettent le corps en avant, tout ou partie. Corps en mouvement, corps martyrisé… Les danseurs utilisent le leur, tout en le mettant au service de « l’art vivant sans jamais s’y fondre. » Dancing Machines offre au visiteur, spectateur, qui pourra devenir acteur de l’histoire à laquelle il est convié, une déambulation dans plusieurs salles. Certains éléments peuvent être déroutants. Que font ces poutres en bois posées sur le sol dans la première salle ? Et ces chaînes, toujours au sol, dans une autre salle ?
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Culture - Justice - Littérature - Sécurité - Société
» Alors tout ça, c’est vrai ? Je ne suis pas… une fiction ? «
L’enfant, La proie, L’emprise, La déprise, L’empreinte, Écrire, sont les titres -
» La guerre dans la banlieue de Roubaix, comment pouvait-on prévoir ? «
Dans le deuxième opus de la trilogie de Frédéric Paulin, Prémices de la chute, nous partons de Roubaix, jusqu'à Tora Bora, dans les zones tribales entre l'Afghanistan et le Pakistan. Au bout du chemin, les attentats du 11 septembre 2001. Pièce par pièce, Frédéric Paulin reconstitue l'image d'une pieuvre dont les tentacules s'étendent inexorablement sur le monde. Des personnages fictifs rencontrent des personnages de la vie réelle, engagés dans des actions réelles. Quand le roman noir se met au service de l'Histoire, cela donne un document criant de vérité.
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Survivre à Noël
« Que se passera-t-il à Noël ? Rien, bien évidemment. Mais, peut-être, le malaise une fois énoncé, il nous sera plus facile de l’endurer et de se protéger derrière une douce chappe d’ennui. » Ces mots mis en exergue de Survivre à Noël, sont extraits de la lettre lue face caméra par Henri (Mathieu Amalric) à sa sœur Élisabeth (Anne Consigny), dans le film Un conte de Noël d’Arnaud Despleschin. Survivre à Noël, une proposition faite par Stéphane Floccari (Éditions encre marine) dans un essai écrit d’une plume alerte, joyeuse, moqueuse ou grave. Et des solutions pour se constituer un « kit de survie », à cette fête à laquelle personne ne peut échapper.
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Le dico des « Tontons flingueurs »
Philippe Durant raconte tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur ce film-culte. C’est du brutal !