journal du confinement
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Trois femmes et un déconfinement/Jour 1, jour unique
Le confinement, c'est terminé ! La suite s'annonce rude ! Nous ferons le chemin ensemble, n'est-ce pas ?
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Trois femmes et un confinement/Jour 53
L’esprit de résistance, nous en aurons besoin après le déconfinement...
Voici la dernière chronique de la grand-mère, de la mère et de la petite fille confinée dans leur gynécée bisontin. Avant une ultime, très prochaine et unique chronique du déconfinement...
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Trois femmes et un confinement/Jour 50
Ce matin, la guigne continue... Elle qui d’habitude maîtrise parfaitement les choses se retrouve avec toute l’huile au milieu de la cuisine... Elle appelle Mimi à l’aide et tandis qu’elles épongent l’huile, le balais tombe et renverse le vinaigre... On a réussi à faire une vinaigrette, mais par terre...
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Trois femmes et un confinement/Jour 46
Tout d’abord, permettez-moi de vous souhaiter un joli premier mai. Cette année, plus encore que d’habitude, ce premier mai est le jour des premiers de corvée. Pas la fête du travail, non, la fête des travailleurs, ces fameux travailleurs mal payés et pourtant essentiels au fonctionnement, et même à la survie de notre société.
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Covid-19 - Culture - faire face
Trois femmes et un confinement/Jour 42
Après avoir lu ce qu’Anouk a écrit sur son amour pour les bars, les restaurants, les troquets, les caboulots, les estaminets, les bouchons, sans aller jusqu’aux boui-boui ni aux beuglants, ni aux bouges… je comprends les oiseaux.
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Trois femmes et un confinement /Jour 39
… Ces masques annoncés pour bientôt sont comme l’Arlésienne d’Alfonse Daudet. On en parle, on en parle, on ne les voit jamais. Alors chacune, ou chacun, bidouille son petit bout de tissu. Voilà ! Nous sommes dans le règne du bidouillage.
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Trois femmes et un confinement /Jour 35
Oui mais voilà, la famille, on a beau ne pas aimer ça (j’entends par « la famille » son cortège de désagréments du quotidien et de contraintes d’un autre âge, car pour le reste, pour ce qui est des liens du cœur et du sang, Mimi est très « famille »), on a beau avoir autre chose à foutre, la famille est comme le réel, elle vous rattrape.
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Trois femmes et un confinement/Jour 32
Au final, j’ai pensé que ce discours était un discours de faux-cul… en espérant qu’il n’en était pas un… en craignant qu’il en soit bien un…
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Trois femmes et un confinement/Jour 30
Il y a un an, brûlait Notre Dame... Aujourd’hui, l’autre incendie dont personne ne parle est bien plus inquiétant. C’est celui qui fait rage autour du site de l’ancienne centrale nucléaire de Tchernobyl et qui était, hier, à 1,5 kilomètre du bâtiment recouvrant le site hautement radioactif. Et que fait-on ? Rien. Est-ce qu’on en parle ? Non.
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Trois femmes et un confinement/ Jour 28
« On peut quitter La Boucle grâce à sept ponts ou passerelles, que je franchis rarement. Mon psychanalyste dit que je fais partie de ces gens bien connus des psy bisontins, qui sont bouclés dans la Boucle... »
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Trois femmes et un confinement/Jour 23
Monsieur Macron, révisez votre Yuval Noah Harari ! On a besoin de savoir, on a besoin de comprendre, on est des êtres humains ! L’info c’est fondamental. Et là, ma lecture quotidienne du journal le monde me rappelle à la réalité : nous, on est la start up nation ! Donc le gouvernement communique sur des mesures de start up nation !
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Trois femmes et un confinement / Jour 21
Emmanuel Macron comprend chaque jour un peu plus l’importance du service public.
Je n’ai pas travaillé depuis 14 jours.
L’air de Paris n’avait pas été aussi propre depuis quarante ans.
On se rend compte qu’on peut vivre avec les mêmes trois T-shirt sans aucun problème. - Separateur
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Trois femmes et un confinement/ Jour 19
Si ce jour devait avoir un prénom, ce serait, Merci...
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Trois femmes et un confinement/ Jour 18
Moi pourtant, c’est ce que j’aurais aimé entendre de nos dirigeants, ces derniers jours, et en particulier du ministre de l’éducation nationale. J’aurais voulu entendre : Oui, on a merdé. Ok, on a bousillé l’industrie, et le service public. Ok, la note est salée, mais on a compris que c’est important.
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Trois femmes et un confinement / Jour 17
Magari ! C'est mon mot préféré de la langue italienne : magari. Magari est un mot qui a plusieurs significations, un peu comme wesh, mais personnellement je préfère nettement magari à wesh, (même si wesh est un mot très futé et très rigolo)...
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Trois femmes et un confinement/Jour 15
Le choc, les ondes de choc… un chat...
S’il est collectif, le choc est aussi individuel. Il se ressent différemment suivant un nombre de facteurs liés à notre histoire personnelle. Le choc évoque quelque chose de violent. Et ce qui se passe depuis quelques mois est très violent. Le choc qui nous atteint de plein fouet génère de la violence, s’il génère aussi de la solidarité
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Trois femmes et un confinement/ Jour 14
Peur, colère, motivations... Je tombe le masque pour vous dire que oui, j’ai peur. Peur pour celles et ceux que j’aime, peur pour ceux que j’ai aimés... J’ai peur pour tous ceux que l’on envoie au front, sans masques, sans gants. Je pense aux soignants, aux caissières, aux éboueurs, aux livreurs… Je pense même aux policiers. Oui, ceux qui ont gazé, matraqué, éborgné…
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Trois femmes et un confinement/ Jour 13
Jour 13, non seulement nous confinons, mais aussi nous faisons une pause… La superstition n'a rien à voir dans cette décision. Un petit mot pour vous toutes et vous toutes, quand même...
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Trois femmes et un confinement /Jour 9
Si nous n'oublions pas la misère des autres et du monde, ce jour 9 aura quand même le parfum des cookies de Nina.
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Covid-19 - Culture - Littérature - Santé - Société
Trois femmes et un confinement /Jour 8
Jour où la question de la vie de famille/ en famille se pose...
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Trois femmes et un confinement / Jour 7
« Hier j’ai commencé à avoir une toux sèche et le souffle court, et j’ai passé une très mauvaise nuit, avec des douleurs dans les membres, un mal de crâne qui paraît-il est semblable à une gueule de bois (moi qui n’ai jamais eu la gueule de bois je vois maintenant à quoi ça ressemble c’est pas rigolo)… »
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Trois femmes et un confinement / Jour 6
Il va falloir tenir sur la longueur. Un marathon nous attend ! Alors aujourd'hui, jour 6, une pause.
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Trois femmes et un confinement/ Jour 5
Jour 5, ça se complique
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Trois femmes et un confinement / Jour 4
Comment revenir à nos récits en cours ? Et comment transformer ce que nous vivons, et qui prend beaucoup de place, en histoire ? Car le récit est une affaire de distance, une affaire de temps. Ce que nous vivons en ce moment, nous ne pouvons que le chroniquer, et c’est tout à fait différent.
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Trois femmes et un confinement/Jour 3
Le plein, le vide. L’utile, l’inutile. L’essentiel, le futile… Je vais revoir le contenu de tous mes tiroirs, placards… Mais pas le contenu de MES bibliothèques. Là, c’est sûr, c’est de l’utile, de l’essentiel, du fondamental, du vital…
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Trois femmes et un confinement/ Jour 2
Et puis tout d’un coup tout s’arrête. Ce n’est pas moi qui cale. C’est toute la France, c’est toute l’Europe. C’est même mondial. C’est une panne généralisée du système. Et là, on se rend compte à quel point on est fatigué. Tout à coup il n’y a plus une voiture dans les rues, c’est le silence. Tout à coup, on entend les oiseaux chanter… alors que le frigo n'a jamais été aussi rempli.
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Trois femmes et un confinement / Jour 1
Trois femmes, une grand-mère, qui accueille sa fille et sa petite fille qui ont quitté Paris pour Besançon, obligées de partager leur quotidien face au coronavirus. Chaque jour, Mimi, Anouk et Nina vous racontent comment elles font face à ce confinement imposé. Amour vs névroses - humour vs conflit générationnel. Qui va gagner? Les paris sont ouverts !
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