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Agriculture - Economie - Environnement - Presse
SOS Loue et rivières comtoises ciblé par le préfet du Doubs et les syndicats agricoles
Après plusieurs gros titres de la presse nationale pointant les pollutions engendrées par le Comté, SOS Loue et rivières comtoises a été directement mis en cause par le préfet du Doubs et l’ensemble des syndicats agricoles, ce qui a provoqué des remous à la Confédération Paysanne. Accusé d’« agri-bashing » le collectif dénonce une tentative d’intimidation et revendique sa liberté d’alerter sur l’agonie des cours d’eau et d’en dénoncer toutes les causes, dont la principale. Malgré tous les efforts de la filière Comté. -
Agriculture - Economie - Environnement
La lutte de Claire pour produire autrement en zone Comté
Pour trouver quelques hectares afin d'y faire pâturer ses vaches, Claire Guyon a subi des pressions, monté une multitude de dossiers, porté plainte au Tribunal administratif et connu le mépris. Dans le Haut-Doubs, et dans toute l’AOP Comté, les jeunes qui souhaitent s’installer sur des projets jugés « atypiques » éprouvent toutes les difficultés à trouver des terres, rares, lucratives, et donc objet de toutes les convoitises. Malgré un recours engagé par la commune de Rochejean, elle devrait bientôt pouvoir réaliser son rêve : devenir bergère. -
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Une action pour dénoncer les pollutions dues au Comté dans la Loue
« Le temps nous est Comté », slogan choisi par 40 activistes pour le semi-blocage du pont à Port-Lesnay (39). Ils veulent alerter sur la pollution de la Loue, en partie à cause de la filière Comté. Cette action fait partie du « Camp Climat Doubs Jura », qui s’est tenu dans le village pendant 3 jours.
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Agriculture - communiqués - Covid-19 - Economie - faire face
La Confédération paysanne veut une baisse de 2,5% sur un an du lait à comté
Dans un communiqué intitulé « la filière comté se doit d'être exemplaire dans la gestion de la crise sanitaire et économique », la Confédération paysanne de Bourgogne-Franche-Comté se dit satisfaite de la décision du CIGC de baisser de 8% de la production de lait sur le trimestre. Elle ajoute que « ce qui n’a pas été produit ne le sera pas plus tard » et préconise une baisse de 2,5% sur l'année.
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Agriculture - Covid-19 - Economie
La filière comté va réduire sa production
L'arrêt du marché de la restauration hors domicile et l'importante diminution des exportations en raison de la crise sanitaire conduisent le Comité interprofessionnel de gestion du comté (CIGC) à appeler les producteurs à la modération. La FDSEA du Doubs veut « une position explicable à tous ». La Confédération paysanne suggère de diminuer de 10% la production par rapport au même trimestre de 2019.
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2050 : du comté au lait de brebis ?
Après une séquence folle de développement de l’élevage et d’augmentation des chargements ces dernières années, grâce à l’apport technologique du sexage des doses d’insémination, l’année fourragère difficile que nous venons de vivre remet les pendules à l’heure. Loin d’être une simple anomalie climatique, ce scénario catastrophe pour les bilans fourragers préfigure ce qui risque de devenir la normale pour la Franche-Comté dans les années à venir. Le réchauffement semble s’inviter brutalement dans l’économie des exploitations, et il est plus que temps de s’en occuper si l’on ne veut pas qu’il s’occupe de nous. Une renégociation de l’équilibre entre la production fourragère et le développement des troupeaux s’impose.
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« Organisez la décroissance, ou le réchauffement le fera pour vous ! »
C'est le message de l'agronome Mathieu Cassez à la filière comté. Il a publié dans le journal de la FDSEA du Doubs un article exhortant les producteurs de lait à prendre en compte une baisse prévisible de 20% des rendements fourragers à échéance proche. Sinon, il faudra songer à faire du comté au lait de brebis...
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« On aurait dû se coucher sur la route pour empêcher le camion de ramasser le lait »
Sociétaire de la coopérative de Pierrefontaine-les-Varans, le secrétaire général adjoint de la FNSEA, Daniel Prieur, estime que des erreurs ont été commises dans la réponse collective, syndicale et professionnelle, aux robots de traite dans la filière comté.
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Agriculture - Economie - Justice - Société
Comté : la filière en cour d’appel
Le Comité interprofessionnel de gestion du comté avait contesté sa condamnation en première instance à payer des dommages et intérêts solidairement avec la coopérative de Pierrefontaine-les-Varans qui a été contrainte de collecter le lait d'une ferme utilisant deux robots de traite. Décision le 27 septembre.
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Agriculture - Economie - Justice - Société
Les fruitières à comté se penchent sur l’engagement coopératif
L'introspection est permanente dans la filière phare de l'agriculture du massif jurassien. En pleine affaire du robot de traite, les fédérations des coopératives laitières du Doubs et du Jura explorent les voies susceptibles de maintenir la cohésion humaine d'un système qui marche, mais reste marginal dans l'économie européenne. Factuel.info publie le jugement qui met en émoi ce petit monde très organisé.
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« Les vendeurs de robots se foutent de la réputation du comté »
Vétérinaire homéopathe, Paul Polis considère que le robot de traite modifie largement l'organisation d'une ferme, perturbe la vie sociale des vaches, altère la qualité du lait. Il estime complètement justifié le refus par la filière comté de cette technologie.
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La démonstration de force des éleveurs de l’AOP comté
Ils étaient entre 800 et 1000 lundi 7 mars pour dire leur attachement au cahier des charges « cahier des chances » que le tribunal de grande instance de Besançon n'a pas jugé formellement opposé aux robots de traite. C'est pourtant ce qu'ont voulu dire ses rédacteurs en interdisant la traite en libre service... Audience d'appel en juin.
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Front syndical paysan contre le robot de traite en comté
Vercel doit être lundi 7 mars la capitale d'une mobilisation sans précédent des éleveurs pour le respect du cahier des charges de l'AOP. Confédération paysanne, Coordination rurale, Jeunes agriculteurs et FDSEA de trois départements appellent à un pique-nique géant et à la signature d'un manifeste.
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Filière comté : la Confédération paysanne veut interdire le glyphosate
Le syndicat qui défend des petites fermes autonomes a souvent proposé des mesures adoptées par les organisations majoritaires de la zone comté, comme la proscription des OGM et des résolutions anti-Tafta. Après l'exemple d'une ferme-ouverte à Salins-les-Bains, il proposera une visite à Saint-Julien les Russey le 28 avril. -
Lait, vaches et normes anti-pollution croissent en choeur
La troisième conférence de la Loue et des rivières comtoises a été l'occasion de l'annonce officielle de l'installation de six stations de mesures des pollutions en continu dont cinq dès 2015. Mais la vedette est incontestablement le karst qui, avec la complexité de ses circulations souterraines, commence enfin à faire l'objet de mesures Bouton abonnez-vous maintenant
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Pollution des rivières comtoises : « nous ne sommes pas convaincants »
Le président du Conseil général du Doubs, Claude Jeannerot, l'a admis lors de la deuxième conférence départementale sur la Loue et des rivières comtoises : « il faut des moyens supplémentaires pour dépasser les obligations légales ». Le préfet de région a renforcé les règles d'épandages et de stockage des lisiers. Les environnementalistes plaident pour une reconversion en 10 ans de la filière comté en bio. -
Relocalisation
Quand Jean-Charles Arnaud parle de relocalisation, il parle d'or. C'est arrivé au morbier grâce à l'appellation d'origine, il y a une dizaine d'années. Ce fromage qui jadis était fabriqué dans le Haut-Jura sans label, fut récupéré par les industriels du Grand-Ouest qui en fabriquèrent massivement en pasteurisant le lait. -
Ces fromages AOC qui résistent à la mondialisation
« Ce serait une tout autre approche de la mondialisation si le principe des appellations d'origine se généralisait », estime Jean-Charles Arnaud, patron de Juraflore et président du comité des produits laitiers, alimentaires et forestiers de l'INAO. - Separateur
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Le pôle de l’agriculture du nord Franche-Comté est créé
Le processus entammé en 2009 aboutit à l'établissement de la Chambre interdépartementale d'agriculture Doubs-Territoire de Belfort. Un bugdet a été voté, des responsables ont été élus en sessions plénières à Montbéliard. -
Agriculture - Environnement - Nature
Quel azote pour fertiliser les pâturages ?
La méthanisation en agriculture est-elle compatible avec le comté ? Cette question est née du projet de méthanisation d'une ferme en lait à comté de Reugney (Doubs) dont le projet de plan d'épandage a été critiqué par des associations de défense de l'environnement. -
OGM et comté : coup de torchon à Besançon
L'affaire du soja transgénique livré à son insu à un producteur de lait à comté, faucheur volontaire d'OGM, a provoqué de vifs échanges lors de la session plénière de la chambre d'agriculture du Doubs. Le président Daniel Prieur a fustigé ceux qui « amènent la suspicion » sur les AOC». Réponse de Gérard Coquard : « Je n'aime pas les sous-entendus, la Conf' est visée alors qu'elle a énormément travaillé pour l'AOC ». - Separateur
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Agriculture - Economie - Environnement
Néolait renonce au soja transgénique
Livrer 600 kg d'un complément alimentaire contenant 25% de soja transgénique à un éleveur produisant du lait à comté était « une erreur commerciale ». C'est ce que nous a indiqué hier, par téléphone, Bernard Humbert, directeur commercial de Néolait, l'entreprise d'Yffiniac (Côtes-d'Armor) qui a fourni la semaine dernière un sac de Néovo Masch C50 à Jean-Paul Henry, paysan anti OGM à Grand-Combe-des- Bois, qui voulait un produit facilitant la digestion des veaux sevrés. -
Agriculture - Environnement - Santé
Des OGM chez un faucheur volontaire
L'histoire pourrait faire grand bruit. Jean-Paul Henry, producteur de lait à comté à Grand-Combe des Bois, sur le plateau du Russey, nous a confirmé le 8 novembre 2009 s'être fait livrer quelques jours auparavant par son fournisseur habituel, Néolait, 600 kg d'aliments pour veaux contenant, selon l'étiquette, 25% de soja transgénique, forcément importé.