CDDLE
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blog - Sélection de la rédaction
17 octobre 1961 – 17 octobre 2021 : 60 ans de déni
Paris, 17 octobre 1961, 20h30. À cinq mois de la fin de la guerre d’Algérie, des dizaines de milliers d’Algériens, hommes, femmes et enfants, manifestent pacifiquement contre le couvre-feu qui leur est imposé, sur une base discriminatoire, par le préfet de police Maurice Papon, sur ordre de Michel Debré, premier ministre, hostile à l’indépendance de l’Algérie. […] -
Quand le Préfet du Doubs s’obstine à ne pas exécuter des décisions de justice qui ne lui sont pas favorables!
Madame AC de nationalité ivoirienne a quitté son pays avec son mari et sa fille M, âgée de quelques mois pour éviter à cette dernière l’excision, pratique qui a lieu selon les traditions dans son pays, et où il est difficile d’y échapper sauf à fuir. Le couple passe par la Libye, où M a […] -
Le Tribunal invalide l’urgence à expulser Solmiré du squat de Tarragnoz
Par une ordonnance en date du 29 avril 2019 la juge des référés a rejeté la requête des Voies Navigables de France qui demandait au tribunal administratif l’expulsion dans un délai de 3 jours de l’association Solmiré et des mineurs isolés étrangers occupants la maison éclusière de Tarragnoz. Dans sa décision la juge souligne […] - Separateur
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blog - Sélection de la rédaction
Une famille avec 6 enfants, demandeuse d’asile et toujours à la rue
La famille R., est à nouveau à Besançon depuis le 9 avril 2021, contrainte de quitter l’Albanie, où elle a été victime de nouvelles persécutions. La préfecture du Doubs, sous des faux prétextes a refusé d’enregistrer sa demande d’asile et de l’héberger. Malgré les affirmations du Secrétaire général de la préfecture, c’est à l’OFPRA et […] -
blog - Sélection de la rédaction
Abakar et la Préfecture : acharnement et inhumanité
Merci ! Merci ! et Bravo… Suite à un appel à une connaissance en Guinée Conakry, des camarades ont réagi instantanément. Ils ont permis à Abakar d’être accueilli vendredi matin à l’aéroport de Conakry… En effet, après l’expulsion d’Abakar, 90 personnes ulcérées se sont réunies devant la sous-préfecture de Montbéliard, le jour même. 17 h […] -
communiqué - Sélection de la rédaction
Laye, Yaya, Sékou et les autres
Laye a été régularisé, c'est un succès dont on ne peut que se réjouir même s'il ne touche pour l'instant qu'une personne, Maintenant la bataille se poursuit sur tout le territoire pour faire évoluer la loi.
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Hommage à Jean-Jacques Boy : le parcours d’un militant
Le CDDLE, pour toi, c'est un parcours de vie et tu en es resté le président, le militant assidu. Nous voulons t'en remercier et te dire notre admiration pour ton implication dans ce combat, comme dans tous les autres que tu cherchais toujours à conjuguer avec ceux qui partageaient ton indignation, ta révolte, par-delà les clivages partisans.
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blog - Sélection de la rédaction
18 décembre : Journée internationale des migrants
L'Assemblée locale de Franche-Comté des États Généraux des Migrations unie à la Marche des Solidarités appelle à nous rassembler pour défendre la régularisation de tous les Sans-Papiers, la fermeture des Centres de rétention, le logement pour toutes et tous.
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Islamisme radical, extrême droite : ne tombons pas dans le piège de la division
Le moment est très grave. Après l’assassinat de Samuel Paty, professeur d’histoire, de géographie et
d’éducation morale et civique, un autre crime a été commis à Nice. Ces crimes visent à semer la
peur et la haine entre nous. Ne nous laissons pas prendre à ce piège. Ils ne peuvent pas non plus servir à nourrir une quelconque discrimination contre nos compatriotes musulmans. - Separateur
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17 octobre 1961 – 17 octobre 2020 – vérité et justice
Le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d’Algériens manifestaient pacifiquement à Paris contre le couvre-feu discriminatoire qui leur avait été imposé par le gouvernement de l’époque. Ils défendaient leur droit à l’égalité, leur droit à l’indépendance et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ce jour-là des centaines perdirent la vie, victime d’une violence et d’une brutalité extrême des forces de police.
Le 17 octobre 2020. la Marche des solidarités se dirige vers l'Elysée pour demander l'égalité des droits.
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Marche des Solidarités le 8 octobre à Dijon
La marche des solidarités partie le 19 septembre de plusieurs villes de France convergera vers Paris pour une grande manifestation vers l’Élysée le samedi 17 octobre. Celle qui est partie de Marseille arrivera le 8 octobre à Dijon. Les Bisontins désireux d'accompagner les marcheurs vers Dijon peuvent les rejoindre
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Pour l’égalité des droits : des papiers pour toutes et tous !
Depuis plusieurs mois, des organisations, des collectifs, une centaine de parlementaires, des maires,
des avocats et personnalités du monde culturel ont dénoncé les inégalités dans notre société et mis au
centre de leur action l'accès aux droits fondamentaux pour tous, et particulièrement pour les personnes
administrativement et matériellement précaires que sont les sans-papiers. - Separateur
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Autorisée à mourir en France : Parcours d’une Géorgienne à Besançon
Cette lettre ouverte au Préfet raconte l'itinéraire d'une étrangère qui après avoir vécu en France depuis 2009, s'y être intégrée grâce à l'obtention d'un titre de séjour et d'un travail, a dû malheureusement affronter le non renouvellement de ce titre de séjour et tout perdre.... Elle a finalement obtenu un nouveau titre quand il a été connu qu'elle était très malade et se voir octroyer ainsi le droit de mourir en France.L'acharnement administratif contre cette personne exprime la colère d'une militante qui l'a suivie pendant toutes ces années.
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Enfants à la rue en contexte de crise sanitaire : Le département du Doubs ferme les yeux et garde portes closes
À Besançon des enfants dorment dehors. Alors que le contexte sanitaire reste préoccupant et que les différents pouvoirs publics multiplient les incitations à la prudence, le département du Doubs a récemment décidé de ne plus apporter ni aide ni toit ni même aide alimentaire aux enfants à la rue qui lui étaient signalés. Le répondeur du Département en atteste :"Je suis désolé, nous n’avons plus de place. Nous n’assurons plus la prise en charge des nouveaux arrivants". »
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Covid 19 : situation des populations fragiles y compris d’origine étrangère
18 organisations interpellent ce jour le Préfet du Doubs étant donné la pandémie de Covid 19 et la situation des sans abris français ou étrangers. Elles exposent leur questionnement autour de 3 thèmes :
- Hébergement et nourriture
- Assignations à résidence et situations administratives
- Santé et prévention
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Une ville accueillante pour les personnes étrangères, ce devrait être…
Le Gisti (Groupe d'Information et de soutien des Immigrés) publie un document dans lequel il recense les points qui relèvent des compétences des maires, et liste des propositions d’attitudes qu’ils et elles peuvent adopter, et d’initiatives qu’ils et elles peuvent prendre, de telle sorte que leur commune soit une ville vraiment accueillante.
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JUSTICE CLIMATIQUE, JUSTICE SOCIALE et JUSTICE MIGRATOIRE
Selon de nombreux experts internationaux, le réchauffement climatique va atteindre un seuil irréversible pour les sociétés, l’environnement et la biodiversité. Il provoquera en particulier l'augmentation des catastrophes naturelles (sécheresses, inondations, feux de forêt), la hausse du niveau des mers et la raréfaction des ressources en eau potable et donc des migrations ou des déplacements de populations Les justices climatique, sociale et migratoire ne sont elles pas des voies convergentes d'un même combat pour la réduction des inégalités ?
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Alerte à l’enfance en danger : la rue n’est pas un abri pour les mineurs étrangers
La mort accidentelle, par noyade, le 24 juillet dernier, de Zachee Otto Koumata, jeune Camerounais de 14 ans, reconnu mineur par le Juge des Enfants le 3 juillet 2019, est l'occasion pour le Collectif Solmiré (Solidarité Migrants Réfugiés) d'attirer l'attention sur la situation qui est faite aux Mineurs Non-Accompagnés (MNA) à leur arrivée dans le Département du Doubs, après un long et périlleux périple en Afrique et en Europe.
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Convergence « Urgence pour le Climat » et « Stop Dublin »
Les causes du dérèglement climatique et des migrations ayant des origines communes liées à notre mode de développement, les États Généraux des Migrations, soutenant l'initiative européenne STOP DUBLIN fixée au 25 juin, rejoignent la marche pour le Climat. A l'urgence écologique et à la justice sociale, ils ajoutent l'urgence de l'accueil , la justice climatique et la reconnaissance du statut de réfugié climatique.
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Défendre les migrants c’est aussi sauver l’Europe
Les États Généraux des migrations (EGM) tente de résoudre cet apparent paradoxe à un moment où après avoir entendu à l'envi que la crise migratoire était un problème européen, chacun peut percevoir soudainement un silence impressionnant sur le sujet à l'approche des élections européennes.
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Pour une politique migratoire européenne solidaire
« Défendre les migrants c'est aussi sauver l'Europe ! » : Les 1 600 organisations réunies dans la dynamique des États Généraux des Migrations (EGM) interpellent les autorités pour une politique migratoire alternative et un accueil digne des exilé.es sur notre territoire.
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Les États Généraux des Migrations: 106 assemblées, deux synthèses des cahiers de doléances
En 2017, 500 associations locales et nationales interpellent le Président de la République sur les politiques migratoires de la France et de l’UE . Sans réponse, elles lancent les États Généraux des Migrations : 106 Assemblées Locales, composées de 1600 associations se constituent et réalisent un relevé de cahiers de doléance à travers le pays. Ce matériel représente un outil de dialogue inédit de sensibilisation sur des faits réels au delà des fantasmes. Aujourd'hui les assemblées locales se mobilisent à nouveau en région et nationalement
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Marche aux flambeaux pour les migrant.e.s le 18 décembre 2018
L'assemblée locale des États Généraux des Migrations (EGM) Franche-Comté-Sud et les organisations signataires de l'appel national « Liberté et Egalité des droits ! » appellent à une MARCHE AUX FLAMBEAUX le mardi 18 décembre 2018 à 18h.
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Campement illicite et pratiques préfectorales illégales
Le 23 octobre le Campement d'Arènes a été vidé de ses occupants, démantelé et grillagé. Jugé illicite ce campement devait disparaître. L'opposition à tout campements illicite réclamait une fermeté visible qui a marqué l'arrivée d'un nouveau Préfet, sans résoudre pour autant le problème d'hébergement qui en résultait. Par ailleurs certains occupants ont dû recourir au tribunal administratif pour obtenir l'enregistrement par la Préfecture de leur demande d'asile qui leur était refusée.
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Pour les Etats Généraux des Migrations une autre politique migratoire est possible
Communiqué de presse des EGM à l'occasion de l'adoption du projet de loi "pour une immigration maîtrisée, un droit d’asile effectif et une intégration réussie"
Les EGM représentent 500 associations, collectifs, acteurs de terrain dans toute la France avec une antenne locale à Besançon, déterminés à mettre en évidence les initiatives d’accueil développées dans les territoires, et à construire collectivement des propositions pour démontrer qu’une autre politique migratoire est possible.
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L’Europe, la solidarité et le règlement Dublin
Après États Généraux des Migrations une mobilisation européenne propose une action concertée dans de nombreuses villes européennes le 27 juin à 12 h, à Besançon place du 8 septembre
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Besançon dans les États Généraux des Migrations
La première session nationale des États Généraux des Migrations s'est tenue les samedi 26 et dimanche 27 mai 2018 à Montreuil tandis qu'à Besançon une rencontre a eu lieu vendredi 25 mai Place Pasteur. Un mouvement solidaire prend forme depuis juin 2017 en France et en Europe défendant une autre vision de l'humanité autour d'une autre approche des politiques migratoires.
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Les États Généraux des Migrations à Besançon
Des centaines de collectifs et d’associations locales ou nationales, issues de l’immigration ou pas, présentes partout en France aux côtés des personnes étrangères et agissant dans des domaines aussi variés que l’urgence humanitaire, l’accès aux droits fondamentaux, l’enseignement du français ou l’échange interculturel se sont formés autour de cette idée des États généraux des Migrations. Ensemble, nous nous mobilisons pour un changement radical de politique migratoire. Une rencontre aura lieu à Besançon le 25 mai prochain.
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Le Bol d’R : entre légalité et légitimité
Le tribunal a rendu son avis ; SolMiRé est condamné à "l'expulsion sans autre délai que celui de la signification de la décision et au besoin avec la force publique et l'assistance d'un serrurier". D'accord, notre droit est implacable contre toute atteinte à la propriété devenue depuis la Révolution un des « droits naturels et imprescriptibles de l'homme ». Toutefois ne peut-on pas penser que le véritable débat est ailleurs ?
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Le Bol d’R : faire face à une réalité humaine désastreuse
Après plusieurs mois de demande de rendez-vous et de de dialogue en direction de la mairie sur la situation des demandeurs d'asile, le collectif Solmiré a réquisitionné à Besançon un local inoccupé pour proposer un accueil de jour à ces personnes à la rue. Le président Macron affirmait en juillet 2017 : « Je ne veux plus d’ici la fin de l’année avoir des hommes et des femmes dans les rues, dans les bois. Je veux partout des hébergements d’urgence. »
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Le Bol d’R : faire face à une situation humaine désastreuse
Après plusieurs mois de demande de rendez-vous réitérés et de recherche de dialogue sans aucun succès en direction de la mairie autour de la situation des demandeurs d'asile dans notre ville, le collectif Solmiré a réquisitionné à Besançon un local inoccupé pour proposer un accueil de jour à ces personnes à la rue. Si le président Macron affirmait en juillet 2017 : « Je ne veux plus d’ici la fin de l’année avoir des hommes et des femmes dans les rues, dans les bois. Je veux partout des hébergements d’urgence. » Qu'en est-il aujourd'hui à Besançon ?
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Le CDDLE a 20 ans !
- à l"occasion des 20 ans du Collectif de Défense des Droits et Libertés des Étrangers CDDLE) Jean-Jacques Boy a rappelé l'itinéraire de cette association. Une fête a eu lieu le 13 octobre dernier à la Malcombe où sont passées quelques 300 personnes militants et demandeurs d'asile qui ont pu assister à un récital de chansons, à la projection du film « la mécanique des flux » et à une pièce de théâtre "Asylum" , Création de EVA; occasion de rencontres et de débats
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Le PRAHDA ou les dérives d’un hébergement d’urgence privatisé
Que faire pour voir disparaître ces campements de migrants demandeurs d'asile ? C'est le but du dernier né du mille feuille technocratique et financier : le PRAHDA (programme d’accueil et d’hébergement des demandeurs d’asile). Les CAO (centre d'accueil et d'orientation) étaient déjà perçus comme des CADA (centres d’accueil des demandeurs d’asile) au rabais, professionnellement et financièrement. Qu'en sera-t-il du Prahda et que se passe-t-il à Besançon ?
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Un laissez-passer pour Madame Azemi !
Proposer un laissez-passer pour Mme AZEMI, afin qu’elle puisse revenir en France retrouver son mari et ses 2 autres enfants après l’enterrement au Kosovo de son petit Daris, mort noyé à la piscine de Chalezeule, représenterait un geste humanitaire envisageable en de telles circonstances.... Aucune loi ne l'interdit, souligne ce communiqué de RESF et des associations de soutien aux migrants. Voir la pétition en fin d'article.
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Le Squat Denfert devant la justice ou l’équilibre des droits
Si l'ouverture d'un squat destiné à héberger des demandeurs d'asile durant l'hiver, a fait l'objet d'une plainte de la part des propriétaires, elle a également donné l'occasion au tribunal d'instance et à la justice civile de s'informer et de s'étonner sur l'état de non droit dans lequel se trouvent les demandeurs d'asile sans logement alors qu'il revient à l’État de s'en charger. L'affaire a été jugée.
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Pour en finir avec le délit de solidarité
Voilà plusieurs mois qu’on assiste en France à une recrudescence de poursuites judiciaires visant à empêcher l’expression de la solidarité envers migrants, réfugiés, Roms et sans-papiers. C’est ainsi que de plus en plus de militants se retrouvent confrontés à la justice du fait de leurs actions non-violentes d’aide humanitaire en faveur de ces personnes en situation difficile en France.
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Cachez tous ces migrants que je ne saurais voir !
Si au Conseil municipal une majorité de conseillers se sont opposés avec raison à la motion des Républicains comme ils s'étaient opposés à la charte du FN , cela n'a pas empêché cependant la voirie municipale de Besançon d'aménager de nouvelles vasques et autres obstacles à toute nouvelle implantation de tente à Chamars sous l'ancien corps de garde après que le TA eut enjoint la Préfecture de loger ceux qui y dormaient dans le froid.... à la vue de tous.
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Réfugiés à Chamars : les tentes, les vasques et le silence
Depuis le mois juillet, des familles, hommes, femmes, enfants venus en France pour y demander l'asile errent dans Besançon, sans hébergement, s'abritant la nuit, à la gare ou dans les parkings. Essuyant, jour après jour la même réponse du 115 : « Il n'y a pas de place pour vous, rappelez demain »
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Impasse des Réfugiés à Besançon
Depuis de nombreux mois la Préfecture du Doubs s'est fait connaître pour son excès de zèle concernant les expulsions expéditives de familles et l'envoi d'enfants en centre de rétention avant leur expulsion.
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Parrainages à Besançon : une école, un toit, des papiers !
Un parrainage républicain groupé de la quinzaine ou vingtaine de familles menacées d'expulsion représentant plus de trente voire quarante enfants scolarisés dans les écoles de Besançon et menacés par ces expulsions.
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Ces élèves sont à l’école aujourd’hui, nous voulons les retrouver à la rentrée !
A Besançon, une trentaine d’enfants et d’adolescent-es sont actuellement menacé-es d’expulsion du territoire. Arrivés depuis des années ou plus récemment, fuyant des menaces sur leur vie que les institutions (OFPRA-CNDA) chargées d'étudier les demandes d'asile ne reconnaissent pas. Beaucoup de familles et de jeunes sont encore laissés de côté sans pouvoir obtenir un titre de séjour. Signez la Pétition.
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Politique migratoire : une indignité nationale et européenne
Dans un nouveau rapport paru en mars, La Cimade dénonce les difficultés rencontrées par les étrangers pour demander, renouveler un titre de séjour en préfecture ou faire valoir leurs droits. Elle dénonce la mise à distance des personnes étrangères des guichets des préfectures. A Besançon également. Pourquoi cette fuite en avant ?
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Lettre ouverte au Ministre de l’Intérieur
Le CDDLE se joint à de nombreuses voix de tous horizons, qui demandent de mettre fin immédiatement aux réadmissions de demandeurs d’asile en Hongrie, et, par-delà, de remettre en cause les accords de Dublin Citoyens, enseignants, parents d’élèves, militants associatifs, peuvent témoigner au quotidien de leurs conséquences, entrainant malheur et injustice ... L'asile est un droit. -
NON à toute expulsion vers la Hongrie
Aujourd’hui, plusieurs familles étrangères sont menacées de renvoi en Hongrie, pays par lequel elles sont arrivées en Europe. Nous, enseignantEs, parents, citoyennEs, demandons qu’elles puissent déposer leur demande d’asile en France -
Peur des migrants, peur du FN et crise politique
François Gemenne est venu le 30 septembre dernier à Besançon à l'invitation de Barbara Romagnan, pour parler de l'accueil des réfugiés et de l'ouverture les frontières. Cette présentation très stimulante d'un chercheur, nous a permis au-delà de représentations déformantes, d'appréhender certains faits actuels aptes à nous faire sortir de fantasmes liés à ce qu'il nomme « le paradigme de l'immobilisme » et d'appréhender un projet humaniste pour l'Europe, le vivre-ensemble et la mobilité. - Separateur
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Accueillir pour mieux exclure. Quand le travail social se mue en maltraitance
A Tours comme ailleurs, l’État se désengage de l’accueil et de l’hébergement des demandeurs d’asile, QUI EST UNE OBLIGATION LEGALE. Un constat au plus près de la réalité. Toute ressemblance de décors ou de personnages avec la situation bisontine ou franc-comtoise n'est pas forcément l'effet du hasard . -
Migrants : précarité et santé
Anticipant le vote de la nouvelle loi sur le séjour des étrangers en France, les règles et les pratiques concernant le séjour des étrangers malades se durcissent à la Préfecture du Doubs. -
Projet de loi immigration : à quand une vraie réforme, respectueuse des droits des étrangers ?
Le projet de loi « Droit des étrangers », adopté le 23 juillet en première lecture à l’Assemblée nationale, s’inscrit globalement dans la même logique que les lois mises en place par la précédente majorité, les aggravant même parfois. Nos organisations demandent une révision du texte qui garantisse le respect des droits fondamentaux des personnes étrangères. - Separateur
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La Méditerranée, l’asile et la solidarité
La procédure « Dublin » sur laquelle s'appuie Manuel Valls pour refuser l'entrée en France aux migrants venant d'Italie est en train d'enterrer la solidarité européenne en matière d’asile. Ce règlement désigne le pays qui a laissé entrer un migrant comme seul responsable de l'examen de sa demande d'asile. Il fait ainsi reposer sur les pays formant les frontières extérieures de l'UE un poids disproportionné (cas fréquent de l’Italie, de l’Espagne de Malte et de la Grèce). -
L’asile, les chiffres et l’opinion
Le nombre de demandeurs d'asile a diminué en France. Cela changera-t-il quelque chose au discours idéologique ambiant ? La réforme du droit d'asile qui s'annonce semble très restrictive alors que le problème migratoire est ailleurs. Durcie par le Sénat, cette réforme devient plutôt criminalisante et se trompe de cible. Réforme nécessaire ou idéologique ? Que nous apprennent justement les rapports 2014 d'Eurostat, l’Office statistique de l’Union européenne, ou de l'OFPRA, Office français de protection des réfugiés et apatrides, à ce sujet ?