loi El Khomri
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600 manifestants à Besançon contre la loi travail
Sept rassemblements étaient programmés dans la région. La manifestation belfortaine a rassemblé plus de 2000 personnes dont 1000 au départ du site d'Alstom-General-Electric.
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La lutte contre la loi travail entre Alstom et la fac de lettres
Alors que les yeux du pays sont tournés vers Belfort où les salariés d'Alstom, en grève le 27 septembre, jouent gros, à la faculté des lettres de Besançon une petite assemblée générale s'est tenue pour tenter d'organiser la (re)mobilisation.
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Loi Travail : la mobilisation estivale sur l’A36 !
L’intersyndicale du Doubs (CGT, FO, FSU, Solidaires) et le Comité de mobilisation de l’Université de Franche-Comté ont mené une action de péage gratuit à la sortie d’autoroute d’Ecole Valentin.
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Loi travail : plusieurs centaines de manifestants à Besançon
Il n'y a pas eu qu'un défilé : une votation citoyenne contre le texte a recueilli environ 2000 signatures de plus... Une nouvelle journée de mobilisation est annoncée pour mardi 28 juin avec remise en préfecture des pétitions.
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A la porte de Lip contre la Loi Travail
CGT, FO, Solidaires, FSU et militants libertaires ont encore mobilisé 300 personnes contre la Loi Travail. Lycéens et étudiants étaient en bonne part. Myriam El Khomri, la ministre du Travail, venue inaugurer le centre de formation Cuisine mode d'emploi(s) sur le site de l'ancienne usine, a reçu des représentants de la CGT, de FO et de la FSU. Solidaires a refusé l'entrevue et... la ministre est bien loin d'avoir convaincu. Charles Piaget, figure de la lutte des Lip a dénoncé les renoncements du gouvernement PS, « l'impensable : mettre dans une loi la possibilité de déroger à la loi », rappelé que les lois sociales sont « la base de la République » et encouragé à la poursuite du mouvement.
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Un cinéaste blessé par un tir de grenade à Paris
Résultat : un gros hématome et cinq jours d'ITT
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2500 manifestants en Franche-Comté contre la loi travail
Essoufflement ? Pas du tout, disent les responsables CGT qui ont préféré envoyer des militants aguerris plutôt que la masse des salariés pour bloquer des boulevards et scander des slogans sous les fenêtres du Medef bisontin. La visite à Besançon de Myriam El Khomri, ce vendredi, est l'occasion d'un nouveau rassemblement.
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Loi travail : « la mobilisation doit s’économiser »
Un petit millier de personnes ont défilé jeudi 19 mai à Besançon, sans un certain nombre de grévistes, mais avec davantage de jeunes et d'étudiants que mardi 17. A ceux qui assurent que le mouvement s'essouffle, les responsables syndicaux répondent par la perspective d'une grande manifestation nationale en juin. En exergue : zoom sur le Clownistan...
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« La France debout, c’est nous ! »
Une cinquantaine de policiers se sont rassemblés devant la commissariat de Besançon pour dire leur « ras-le-bol de la haine anti-flic ». Leur mouvement montre surtout que les forces de l'ordre, dont les effectifs ont été rognés sous Sarkozy, sont épuisées par six mois d'un état d'urgence qui leur fait reporter leurs congés... Une trentaine d'étudiants rieurs, anti loi-travail, ont « protégé le droit de manifester des policiers ».
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Alain Joyandet : « la loi travail est anxiogène pour les salariés »
Dans une tribune critiquant un projet qui « fait peur à ceux qui ont un emploi » et assurant que « le chômage ne disparaîtra pas avec la libéralisation du code du travail », l'ancien ministre de Sarkozy et sénateur (LR) de Haute-Saône défend la disposition mort-née en 2012 d'une « TVA compétitivité-emploi ».
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Nuit debout s’invite au conseil régional
Une vingtaine de militants du « comité de lutte bisontin contre la loi travail » a interrompu pendant une demi-heure le session budgétaire du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, vendredi matin à Dijon.
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Près de 4000 manifestants contre la loi travail en Franche-Comté
Le défilé le plus important s'est tenu à Montbéliard avec 1300 personnes. 1200 manifestants ont parcouru les rues de Besançon où, pour la première fois depuis longtemps, une prise de parole a conclu le défilé place Granvelle. Ils étaient 600 à Belfort, entre 300 et 400 à Vesoul, Lons et Dole, 120 à Saint-Claude.
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Guillaume Gourgues : « j’ai du mal à voir le mouvement actuel empêcher la loi travail »
Sociologue, enseignant les sciences politiques à la faculté de droit de Besançon Guillaume Gourgues, répond aux questions de Factuel.info sur le phénomène Nuit debout et ses articulations, notamment avec les quartiers populaires et les syndicats. Il estime qu'une limite du mouvement est d'être dans la parole plus que l'action, à l'inverse des Indignés espagnols ou d'Occupy Wall Street...
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Nuit debout : les interrogations du mouvement bisontin
Les animateurs de la mobilisation étudiante ont fait le point avant la nouvelle journée nationale contre la loi El Khomri du 28 avril. L'articulation avec le syndicalisme salarié n'a rien d'évident, même si la volonté d'écoute mutuelle est présente.
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Défilé nocturne contre la loi travail à Besançon
Une nuit debout était organisée jeudi 14 avril malgré les vacances universitaires. Commencée par une sage écoute à peine ponctuée de quelques huées de l'entretien télévisé de François Hollande place Granvelle, elle s'est poursuivie par un défilé en ville de 250 personnes, puis par un forum de prise de paroles avant une assemblée générale qui s'est terminée vers minuit.
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Des « nuits debout » à Besançon, Lons-le-Saunier et Montbéliard
Issu de la fac des lettres à Besançon, le mouvement est arrivé à Lons par le collectif Notre Dame des Landes. A Montbéliard, des militants de gauche radicale ont lancé une invitation pour vendredi 15 en revenant de Besançon...
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Après la manif, « Nuit debout » veut engager la convergence des luttes
Etudiants en lutte contre la loi El Khomri et intermittents ont animé avec 200 personnes la première Nuit debout à Besançon, samedi dès 13 h et dans la foulée d'une manifestation qui a rassemblé 1.500 personnes. Place Granvelle dans le centre ville, débats et moments festifs se sont poursuivis jusqu'au petit matin.
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Tous d’accord au débat des anti loi travail à la fac de lettres
Quartier général des étudiants mobilisés contre le projet de loi El Khomri, l'amphithéâtre Donzelot, rebaptisé Donzelibre, a accueilli une syndicaliste CFDT et une députée PS sur la même longueur d'ondes. De son côté, l'ancien député PS Joseph Pinard pointe le caractère minoritaire des contempteurs du projet.
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« Peut-on vivre autrement qu’en étant des machines ? »
14.000 personnes ont défilé en Franche-Comté selon la CGT. A la fin de la manifestation bisontine qui a rassemblé entre 3000 et 5000 participants, des étudiants et des militants chevronnés ont entamé une assemblée générale en public : la parole se lâche et on l'écoute.
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Besançon : 300 personnes protestent contre les garde-à-vues de trois syndicalistes
Le secrétaire de l'UD-CGT du Doubs, Cyril Keller, un chercheur de la fac des sciences, Philippe Henry, et un étudiant en sciences humaines ont passé quelques heures au commissariat jeudi après la manifestation contre la loi El Khomri.
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500 manifestants contre la loi El Khomri à Besançon
En grande majorité étudiants, ils ont défilé dans le centre-ville et aux Chaprais. Un animateur du mouvement et deux militants CGT dont le secrétaire départemental ont été sèchement interpellés et placés quelques heures en garde-à-vue. Un rassemblement de protestation est prévu vendredi 25 mars. Les Jeunes socialistes du Doubs « s'indignent » et demandent « des sanctions » contre les policiers auteurs de « violences relevant de la sauvagerie ».
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Besançon : les étudiants échouent à faire sortir les lycéens
300 à 400 personnes dont une petite majorité d'étudiants ont sillonné le centre-ville de Besançon et tenté d'effectuer une jonction du mouvement contre la loi El Khomri avec les élèves de trois lycées dont les portes étaient bien fermées et gardées par un petit dispositif policier.
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Education - Etat - Politique - Université
Comment les étudiants bisontins préparent le 17 mars
Une assemblée générale s'est tenue ce mardi 15 mars à l'amphithéâtre Donzelot de la faculté des lettres. Le comité de mobilisation mandaté par la première AG du mars a mis au débat ses propositions pour la journée nationale. Sur le fond, les premiers reculs du gouvernement encouragent des étudiants expliquant bien connaître la précarité d'un monde du travail qu'ils sont plus d'un sur deux à fréquenter.
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Economie - Emploi - Etat - Politique
La jeunesse ne veut pas « travailler plus pour gagner moins »
Entre 7000 et 9000 manifestants ont défilé dans six villes de Franche-Comté dont de nombreux étudiants à Besançon où ils ont constitué un comité qui prévoit d'organiser une manifestation le 17 mars avant la journée nationale du 31 mars contre la « loi travail » de Myriam El Khomri.
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Un petit patron contre la loi El Khomri
Fondateur il y a plus de 20 ans d'une petite société d'élagage à Besançon, Jean-Marie Vieille a manifesté contre la loi El Khomri. Il redoute d'être concurrencé par des entreprises qui auront passé des accords dérogatoires à la convention collective du paysage : « c'est le social qui fera la différence ».
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Code du travail : « la gauche devrait proposer un autre projet »
Inspecteur du travail à Besançon, syndicaliste et militant du PG, Emmanuel Girod a lu le projet de loi El Khomri qui mobilise contre lui ce mercredi 9 mars. Du forfait-jours à la déconstruction de la hiérarchie des normes et à l'apprentissage, il peine à y trouver des mesures améliorant les conditions de travail des salariés et leur santé.