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« Les militants de Solmiré réalisent ce que ne font pas les pouvoirs publics »
Depuis trois semaines, l’association Solmiré (Solidarité Migrants Réfugiés) occupe un bâtiment de Voies Navigables de France (VNF) laissé vacant depuis plusieurs années à Besançon. Trois jeunes mineurs étrangers y sont hébergés. Nous avons rencontré Gilles Tissot, éducateur retraité et militant de l’association pour faire le point sur la situation. -
Un collectif de de jeunes majeurs sans papiers créé en Franche-Comté
« À nos 18 ans, nous avons perdu tout ce qui nous permettait d’être intégrés dans la société française : aide financière pour l’éducation, l’hébergement, la couverture médicale, etc. Nous nous sommes retrouvés à la rue après avoir perdu le droit à l’aide sociale à l’enfance », détaille le communiqué diffusé par Radio BIP le 16 février. Ces jeunes ont […] -
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L’accueil des mineurs étrangers suspendu dans le Doubs
Il a 16 ans et dort dehors à Besançon parce que le département du Doubs dit ne plus avoir de place pour lui. Pour l’aider, alerter l’opinion et rappeler la collectivité à son obligation légale d’accueil et d’hébergement, SolMiRé lui a dressé une tente à la Gare d’Eau. Un terrain qui appartient au Conseil départemental, dont les capacités d’accueils sont saturées avec 370 jeunes migrants ou réfugiés isolés hébergés (MNA).
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Le carnet de Zachée n’a jamais existé
Suite à la mort de Zachée dans le lac de Bonnal, le procureur de la République de Vesoul avait ému jusqu’à la presse nationale en lisant les premières phrases de ce qui était présenté comme le carnet intime écrit par ce jeune migrant. Il nous laissait même entendre qu’il serait rendu public… Mais, problème, outre l’atteinte à la vie privée de ce mineur, ce carnet n’a jamais existé. Ces mots sont issus d’un document juridique, rédigé avec l’aide de l’association Sol Mi Ré. Comme cela a aussi été dit, ce ne sont donc pas les gendarmes qui ont retracé son parcours…
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Naturalisation : au mérite ?
Tous deux sont venus à Besançon pour étudier. Stéphanie Krapoth d'Allemagne, Boukar Dogo du Niger. Ils reviennent sur leurs parcours après la cérémonie à la préfecture de région où ils ont reçu leurs certificats de naturalisation. Selon la Cimade, la situation globale des demandeurs n'a pas vraiment changé après les élections de 2012.