En première partie de Pascal Mathieu, Sylvain de Saturne chante pieds nus les choses de la rue. Calaisien, il chante les clandestins de Sangatte. Il joue du blues sur une guitare acoustique, parfois accompagné d'une boîte à rythme. Il raconte des conneries entre les morceaux, interpelle le public, fait des jeux de mots : « Tropicalaisien » car il écoute aussi de la musique des tropiques... « Calais ma ville, Calais ma belle, Calais belle ma ville ». C'est pas à Besançon qu'on dira le contraire !
Sylvain de Saturne à la Rodia
