Créé à la fin du 19e siècle, le syndicat intercommunal d'électricité de Labergement-Sainte-Marie (SIEL) alimente dix communes à partir du barrage hydroélectrique des gorges de Fourpéret et d'un parc photovoltaïque.
Elle est produite par le SIEL ( Syndicat Intercommunal d'Electricité de Labergement Sainte Marie ). Ce syndicat a été créé il y a 122 ans et alimente en électricité dix communes depuis la centrale hydroélectrique du Fourpéret ( sur le Doubs entre Labergement Sainte Marie et Rochejean) et ce depuis le 21 novembre 1906. Cette structure , voulue par des élus visionnaires, a permis à des petites communes rurales de bénéficier de la lumière électrique avant les villes de Pontarlier et Besançon.
Un petit musée y retrace l'évolution à travers le temps des ampoules, lampes, compteurs.
Aujourd'hui encore, 2.800 communes françaises bénéficient d'une électricité « communale », à l'instar de celle du SIEL : Strasbourg, Metz ou Salins-les-Bains, par l'intermédiaire des 150 Entreprises Locales de Distribution présentes sur le territoire national.
Le SIEL, qui emploie huit personnes, couvre aujourd'hui 10% de la consommation en électricité des habitants et entreprises des communes adhérentes, mais offre surtout un service de proximité dans la distribution et la gestion de l'énergie électrique à travers plus de 300 km de réseaux enfouis à 98 % sur 5.700 points de livraison à usage domestique et 370 pour les professionnels.
L'électricité est produite à partir d'un barrage sur le Doubs. Une conduite forcée, des turbines, des alternateurs et un transformateur entrent ensuite en action.
Un parc photovoltaïque (939 panneaux solaires sur une surface de 1689 m2) complète les installations d'origine. Autre installation récente : un « tracker » solaire biface qui capte les radiations du soleil en suivant sa course (sur la commune de Fourcatier et Maison Neuve).
Le SIEL : un équipement à découvrir dans la haute vallée du Doubs !
Pour en savoir plus, voir le site du SIEL.
L'auteur de l'essai « Que veut la banlieue ? Manifeste pour en finir avec une injustice française », propose de « réaménager le territoire des banlieues tout comme on a reconstruit des villes-centre à la Libération ».
Généralement la rencontre avec le blaireau se fait de nuit, une ombre dodelinante et vive qui traverse la route et qu’on évite – ou pas – de justesse. Ou la rencontre se fait post mortem au matin. Quel est cet animal ?
Les organisateurs de la Primaire populaire tentent désespérément de sauver la candidature mal engagée de Christiane Taubira qui patine. Ce faisant, tout en désignant Emmanuel Macron comme un « adversaire », ils ont une formule accréditant l'idée que le président sortant pourrait représenter un vote utile à gauche ! Il fallait oser. Serait-ce si douloureux, en cas d'empêchement de Taubira, d'appeler à voter pour des candidats qu'ils ont fait participer contre leur gré à leur primaire : Mélenchon et Jadot, voire Hidalgo ?
Quand un demandeur d’emploi se voit radié sous prétexte qu’il envoie ses candidatures par courrier papier et non par e-mail, et que cela est perçu par l’institution comme de la mauvaise volonté, alors quelque chose ne tourne pas rond. C’est pourtant un cas authentique, qui ouvre une réflexion nécessaire sur la numérisation à marche forcée, […]
Une réunion entre militants de l'association Bonne route et services de l'Etat a débouché le 11 décembre sur un constat de divergences, soulignent les auteurs du compte-rendu que nous avons consulté. Néanmoins, une nouvelle rencontre est prévue pour janvier. Pour l'association de riverains excédés par le trafic de transit international, « si la porte n'est pas fermée, il faudra encore de grandes mobilisations pour obtenir satisfaction », à savoir un arrêté d'interdiction de la nationale qui pourrait être testé à l'occasion de travaux en 2022.
Les secteurs du travail social, du médico-social et du handicap sont quasiment aussi sinistrés que celui de la santé. Familles de personnes prises en charge, employeurs et salariés réclamaient mardi 7 décembre à Besançon les moyens d'appliquer le Ségur pour améliorer les salaires et les conditions de travail en embauchant. Mais les syndicats SUD, CGT et FO ne voient d'un bon oeil la revendication patronale d'une convention collective unique qu'ils estiment au rabais.