« Avez-vous une intime conviction ? », la question est posée aux jurés dans les procès d’assises, et elle est posée dans Une intime conviction (sortie le 6 février), un film qu’Antoine Raimbault a tourné « d’après des faits réels ». Ces faits, ce sont ceux d’une affaire non élucidée, qui a fait les belles heures d’émissions de télé spécialisées, l’affaire Viguier, nom à la fois de l’accusé et de la victime. Jacques Viguier a été accusé du meurtre de son épouse, Suzanne, qui a disparu en février 2000, et a été acquitté à deux reprises, lors de deux procès d'assises, à Toulouse (en 2009) et Albi (en 2010).
C’est le second procès, « surréaliste », que raconte le film. Viguier est joué par Laurent Lucas avec sa « tête de coupable », mais c’est « un ténor du barreau » qui tient la vedette, Eric Dupond-Moretti, incarné par Olivier Gourmet. « J’ai...
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