Le Journal de Montréal (Canada) revient sur les travaux de du groupe de chercheurs qui, autour de Jean-Marc Bonmatin (CNRS, Orléans), ont comparé deux secteurs agricoles italiens, l'un traité aux pesticides l'autre non traité. Dans le second cas, seules 4% des champs ont été attaqués par des ravageurs. Il vaut alors mieux être bien assuré contre la perte de récolte que de traiter : c'est moins dangereux et beaucoup moins cher...
Lire ici.
Le chercheur, chimiste et toxicologue, a récemment pris position contre la loi sur le secret des affaires qui impacte selon lui la recherche scientifique. Il s'en explique en deux minutes sur YouTube là.