La transaction doit être entérinée jeudi 14 janvier par le conseil municipal. Il y a un an et demi, un premier acquéreur, le Lazard Group, avait renoncé quatorze mois après s'être vu attribuer l'édifice pour 2,35 millions. Jean-Louis Fousseret présente le choix de la SMCI comme coulant de source. Selon Pascal Bonnet (LR), le maire penchait initialement pour un autre projet.
C'est finalement la SMCI qui devrait racheter, pour 1,8 million d'euros, l'ancien grenier municipal de Besançon bâti de 1720 à 1726. Le fameux édifice de la place de la Révolution a abrité une école d'horlogerie sous Napoléon III avant que la construction de L'Horlo, en 1933, qui deviendra l'actuel lycée Jules-Hagg, ne permette au grenier d'accueillir une école de musique qui se transformera en 1968 en Conservatoire national de région pour la musique, la danse et l'art dramatique. Désormais installé à la Cité des arts sous le nom de Conservatoire à rayonnement régional, ce dernier vide le grenier que la ville a mis en vente en 2013 après qu'un appel à projet lancé en 2012 eut été infructueux.
Le Lazard Group, spécialiste de l'immobilier d'entreprise dont le siège parisien est sur la place Vendôme, s'était bien porté acquéreur pour 2,35 millions au printemps 2013 avec le projet d'y réaliser un hôtel quatre étoiles de 34 chambres avec restaurant gastronomique et bar lounge... Le conseil municipal avait approuvé la transaction le 4 juillet suivant. Las, plus d'un an après, en septembre 2014, il laisser tomber faute d'avoir trouvé la solution technique pour construire autant de chambres dans un budget de travaux de 8 millions. Certains commentaires ironisaient aussi sur l'incongruité qu'il y aurait eu à faire venir des clients aisés à pied, le secteur étant piéton !
Six candidats à la reprise
Outre la SMCI, par ailleurs propriétaire de notre confrère Macommune.info où travaille la fille du maire, les cinq autres candidats à la reprise de l'ancien grenier étaient la SEGER (Besançon), SID (Offemont), Crequy (Lyon), CMG (Jacou, Hérault) et Patrimofi (Paris 8).
On était donc reparti pour un nouvel appel à projet entre décembre 2014 et juin 2015, largement et internationalement médiatisé, y compris en ligne. Le cahier des charge imposé par la Ville prévoit « un restaurant et/ou une brasserie » au rez-de-chaussée, sans spécifier de destination pour les étages.
Des six candidats ayant déposé un dossier, le jury constitué par la ville a donc choisi la SMCI « en raison de la proposition financière, du projet de reconversion, des références et de la solidité financière de la société », peut-on lire dans le projet de délibération présenté au conseil municipal de jeudi 14 janvier. La délibération précise que le passage de la place aux quais du Doubs, dit des Huit trous, restera dans le domaine public communal.
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