Areski Mebarek n'est plus président du comité SOS Racisme de Besançon. « Il a mêlé SOS à son histoire personnelle », regrette le Jurassien Lakdar Benarira qui vient d'intégrer le bureau national de l'association. Une condamnation à deux mois de prison avec sursis en première instance, dont M. Mebarek a fait appel, à la suite d'un différent familial, a conduit à la mise sous tutelle des instances nationales le comité bisontin qui est « en reconstruction ».
SOS Racisme Besançon sans président
Le comité est en « reconstruction »