Groupes Medvedkine
-
« Il n’y a pas un film qui montre des ouvriers… » (troisième partie)
Censure contestée d'un film de Rivette en 1966 (ci-contre La Religieuse), échec du pouvoir à mettre la main sur la Cinémathèque en avril 1968, interruption du Festival de Cannes le 19 mai, création des Etats généraux du cinéma... « Il n’y a pas un film qui montre des ouvriers. Nous sommes en retard », se fâchait Jean-Luc Godard. Après la légèreté de la Nouvelle Vague surgit un cinéma ancré dans la question sociale.
-
Le CCPPO et le Groupe Medvedkine (deuxième partie)
Les grèves de la Rhodia en 1967 anticipent Mai 1968 à Besançon. Chris Marker, Jean-Luc Godard et d’autres cinéastes poussent les ouvriers à prendre la caméra pour réaliser leurs propres films. Un groupe de cinéastes ouvriers naît ; le Groupe Medvedkine de Besançon.
-
Chris Marker : être là où il faut (première partie)
Chris Marker a suivi les grands mouvements politiques du monde depuis un siècle. Il était là avant tout le monde, caméra au poing puisqu’en 1967, il arrive à Besançon pour filmer la longue grève de la Rhodia...
- Separateur
-
Le cinéma militant à l’affiche à Besançon
La 21e rencontre de cinéma du CCPPO se tient du 25 au 27 janvier au petit Kursaal. S'ouvrant par deux longs métrages sur le procès de Nelson Mandela (ci-contre) et la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon, elle se poursuivra par des films sur la Rhodiaceta, forteresse ouvrière ou friche à graffiti, ou les travailleurs de Sochaux, avec le regard toujours neuf des groupes Medvekine.
-
Se souvenir, se battre, résister et en parler…
Yves Boisset, Daniel Kupferstein, Jean-Pierre Duret, Marion Lary, Delphine Ziegler seront présents à la 17 ème Rencontre cinéma du CCPPO au Kursaal à Besançon les 3, 4 et 5 octobre.