Dans un communiqué, la Ligue des droits de l'homme estime « utiles » les mobilisations et recours qui ont permis de faire « reculer la chasse aux pauvres ». Elle se félicite de l'abrogation de l'arrêté du 3 juillet, mais considère que « la dynamique doit se poursuivre pour obtenir l'abrogation de la nouvelle version (...) très critiquable et susceptible d’arbitraire comme de tensions qu’il convient de prévenir ».
Voir ici.