Alstom
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Du gaz à General Electric Belfort
Sous pression. Comme tous les acteurs du dossier General Electric et son usine à Belfort. Personne ne dit rien, mais le bruit de 1.000 suppressions de postes est persistant. La branche turbines à gaz, 1.900 salariés sur 4.200, semble la plus menacée. Bruno Le Maire vient presque de l’enterrer, faute de débouchés. Les syndicats dénoncent un mensonge pour mieux faire passer la pilule du plan social. Chiffres à l’appui, ils tablent, tout comme GE, sur la reprise du secteur. Pour pérenniser l’excellence industrielle de Belfort, son savoir-faire et ses emplois, ils ont élaboré des pistes de diversification : aéronautique, hydrogène et nucléaire.
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Arnaud Montebourg à Belfort : « le nerf de la guerre, c’est l’industrie »
« Salut Jean-Pierre, je suis content de te voir... » Le premier mot d'Arnaud Montebourg en descendant de voiture vers 10 h chez Alstom est pour Jean-Pierre Chevènement. Après le marathon de la visite de l'usine et du train de l'industrie, ils ont déjeuné ensemble. N'ont-ils parlé que d'industrie ?