« Ce n’est pas l’homme qui bouffe la planète, c’est le capitalisme »

C'est l'analyse critique de Thibault Prévost : « N’en déplaise aux penseurs de l’économie verte, l’accroissement des richesses et la sauvegarde de l’environnement sont mutuellement exclusifs ».

Dans un tribune publiée par Konbini et intitulée « pour en finir avec l'écologie libérale », Thibault Prévost explique dans un texte alerte et argumenté que « sans remettre en cause l’hégémonie du modèle capitaliste, la lutte contre le réchauffement climatique n’est rien d’autre qu’une diversion. » Se présentant sur Twitter comme un « petit soldat de l'info », il est spécialisé en science et culture numérique.

Extrait : « Ce sont un demi-siècle d’empilement agressif des richesses, d’exploitation dérégulée des ressources naturelles, de croissance économique à tout prix et de déréglementation des flux de capitaux et de marchandises qui nous ont menés à cette situation désespérée. Notre consommation est la conséquence de ce modèle, en aucun cas sa cause. Sans remise en cause du capitalisme, aucune amélioration climatique n’est envisageable. »

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