« Le mot énergie m'énerve... Les enfants parlent de points, les professeurs d'argent, la société d'énergie. C'est du langage de camé ! Il faut arrêter de se demander par quoi on va remplacer le nucléaire. On arrête et on verra. » Alain de Halleux ne fait pas que des films sur le nucléaire, c'est aussi un militant et un débatteur. Il était mercredi à Besançon pour la première projection française de Welcome to Fukushima.