A un bon mois du débat à l'Assemblée nationale sur l'assistance médicalisée à une fin de vie dans la dignité, , le directeur du centre de recherches juridiques de l'Université de Franche-Comté estime que « la demande euthanasique résulte souvent d'un défaut d'anticipation. La médecine a plus de travail à faire autour de l'accompagnement, de l'évitement et la diminution de la souffrance qu'à espérer d'une solution simple à un problème complexe ».