Un syndicat policier minoritaire, ostensiblement orienté à l’extrême-droite, a fait parler de lui ces dernières semaines sur Besançon. Si son ancrage semble effectif depuis déjà quelques années, c’est surtout ses tentatives récentes et réussies de positionnement sur le devant de la scène qui inquiètent, en particulier au-delà des commissariats. Depuis, sa composition, ses positions, et son influence, posent question auprès de nombreux observateurs locaux engagés sur les faits de société, avec un ton particulier dans le sillage des attentats de janvier. Entre craintes et réalités, que peut-on dire sur cette formation, et plus généralement du climat actuel au cœur des forces de l’ordre ?
Une émergence douloureuse.
Encore anonyme avant 2015, la « Fédération Professionnelle Indépendante de la Police » (F.P.I.P.) locale de Besançon est apparue en grande pompe là où on ne l’attendait pas. Elle s’est pour la première fois ouvertement révélée lors de la manifestation monstre survenue après la déferlante terroriste et ses suites qui ont endeuillé la société. Le samedi 10 janvier, de 25 à 30 000 personnes battait le pavé [1] sous l’initiative et l’organisation de la Ville de Besançon, l’un des plus grands rassemblements après la marche Lip (plus de 100 000 personnes le 29 septembre 1973). Une tribune était installée à cette occasion place du Huit septembre, où devant des milliers de personnes, un policier et un journaliste, entre autres, fonctions touchées lors de ces événements, ont pris la parole. Thierry Silvant, se déclarant dirigeant régional de la F.P.I.P., apparait. Un visage familier des milieux alternatifs, pour ses sensibilités notoires bien qu’aucune glissade n’ait été enregistrée. Il compose ainsi son intervention publique, avec une dialectique soignée et consensuelle [2].
Son allocution résonne tout à fait honnête de prime-abord, malgré quelques appuis sur un champ lexical motivé notamment à travers la Nation. Mais rien de choquant, le fonctionnaire se fait d’ailleurs copieusement applaudir par la foule, laquelle aborde une poignée de pancartes de soutien, avec la bénédiction des officiels aussi présents. L’exercice terminé, il prolonge l’expérience et poursuit avec les médias en développant ses impressions. Cette fois le cœur est davantage exposé avec spontanéité, tranchant avec la trame précédemment ficelée. Interrogé par le journal MaCommune.info [3], il affine sa charge en attestant « un climat latent de tension » expliquant « on est très mal reçu dans les quartiers, on nous fait comprendre qu’on n’est pas à notre place et pas chez nous » (périphrase très prise au Front national, avec un caractère ethnicisé) poursuivant n’être « pas étonné, sauf qu’on s’attendait plus à ce qu’ils butent du flic comme ils disent » avant de conclure « nous sommes contredits, des boucs-émissaires. » La ligne jaune est cette fois perceptible, reprenant les thèses, logorrhées, et amalgames devenus courants et empoisonnant notre quotidien.
On y retrouve, pêle-mêle, le vivre ensemble en péril, la mise en cause des secteurs populaires, et la victimisation des forces de l’ordre. Si les interrogations sur ces axes et liens avec l’islamisme peuvent être légitimes, la forme et les objectifs semblent terminer déjà bien loin d’une simple réflexion objective et apaisée. Mais soit. Pour autant, son rôle à la F.P.I.P. et son invitation en connaissance de cause dans ce contexte commence à susciter la colère de militants. C’est ainsi que la Mairie, responsable, est interpellée via son compte Twitter. Dans ses réponses elle finira par se dédouaner en insistant sur le fait que ce serait le commissariat qui avait choisit son représentant. Il est vrai que ce choix résulte d’un accord avec Alliance [4], mais on ne peut que s’étonner du manque de recherche et du non-usage d’un droit de regard. Le surlendemain, Jeremy Chevreuil via Franche 3 Franche-Comté n’hésitera pas à l’inviter dans un débat sur les libertés publiques, la démocratie, et la Fraternité [5]. La nouvelle star de ce vecteur sera de nouveau sollicitée dans le cadre d’une présumée bavure policière à Planoise, avec des propos tout à fait similaires [6]. Apparemment il n’y a pas beaucoup de considération éthique dans cette chaine financée par nos impôts…. Mais pourquoi faire tant de vagues au fait ?
La F.P.I.P. et son Histoire.
Au niveau national, la Fédération Professionnelle Indépendante de la Police est loin d’être inconnue pour ses débordements et compromissions lourdes. Scission d’Alliance en 1973, le mouvement de droite conservatrice, plusieurs faits divers ont écorné sa réputation. Proche de l’Œuvre française [7] (groupuscule pétainiste dissout en 2013 après le meurtre de Clément Méric), on note des hommages et manifestations régulières, véritables démonstrations de forces, déclenchant l’hostilité de la hiérarchie, des sanctions disciplinaires, et même l’interdiction administrative. En 1983, 1989, et 1992, des renvois sont notamment prononcés dans ce cadre. Plus grave, la participation de membres à des attentats à la fin des années 1980. Plusieurs syndiqués et cadres dont le secrétaire général de l’époque sont révoqués, poursuivit, et condamnés, pour « association de malfaiteur », après avoir inspiré et/ou planifié au moins deux attaques avec le Parti nationaliste français et européen (P.N.F.E., impliqué dans des ratonnades et profanations dont celui du cimetière Juif de Carpentras en 1990) [8].
Il s’agit de celles du siège du Globe (journal de gauche Mitterrandienne, qui avait ciblé le Pen et les « néo-fascistes » les mois précédents) le 31 juillet 1988 à Paris [9], et des explosions de foyers Sonacotra (hébergement social et d’immigrés), à Cannes en mai avec deux blessés, Nice en juin sans dégâts, et surtout Cagnes-sur-Mer le 19 décembre [10] qui fit un mort d’origine roumaine et douze blessés dont un grave [11]. La commémoration de Thierry Silvant à Besançon au nom de cette entité, incriminée dans des actes barbares là aussi contre un média et allant jusqu’à tuer en raison d’origines, donnent en effet un gout un peu amer. Les incidents sont cependant anciens, et n’entachent pas directement cet interlocuteur, même si ces indications n’enlèvent en rien le degré d’horreur. Il semble néanmoins que depuis les années 1990, sans changer sur le fond d’ailleurs notoirement en lien avec le Front national et le Département protection sécurité (D.P.S., son service d’ordre) [12], la forme engagée a bien évolué. Le recours à Internet et aux nouvelles technologies, à l’instar des formations concurrentes, est une ligne de choix pour promouvoir et recruter.
Un site est ainsi opérationnel [13] depuis quelques années, véhiculant la vie interne, philosophie, actions, articles de presse... L’armement, le renforcement de la légitime défense, et bien sûr la lutte contre toute critique des agents y sont particulièrement présents. En parallèle, la F.P.I.P. se concentre plus particulièrement sur les élections et le lobbying pour tenter d’obtenir une influence plus conséquente. Ses derniers résultats généraux en 2014 la place à 5% des votes ce qui en fait la quatrième formation de ce type, demeurant presque marginale en France [14] à l’exception unique du Mans [15] et de quelques bastions [16]. En Franche-Comté elle grimpe à près de 8%, très proche d’être numéro trois avec quarante-sept voix sur 589 mais aucun siège [17]. Elle bénéficie sans doute de l’absence de France Police, alors qu’en Bourgogne une liste récurrente est proposée par un ancien conseiller de Marine le Pen [18]. Localement, le monopole reste donc fermement au bénéfice des traditionnels Alliance et Unité-F.O. malgré une présence non-négligeable. Mais qui tient et compose cette formation dans la région ? Difficile d’avoir des renseignements précis et fiables, seul un de taille est parvenu de source confidentielle sur un numéro deux quelque peu sulfureux.
Un numéro deux déjà épinglé.
Thierry Silvant, ses yeux bleus et son discours bien huilé, aurait été choisi comme le Monsieur respectable, celui qui inspire confiance et respect devant les micros et les urnes. C’est du moins ce que l’on peut analyser, quand on sait qui est son bras droit à la F.P.I.P. Il s’agit d’un certain Émile, ayant fait l’objet d’une enquête appuyée, publiée le 3 juin 2013 [19], et dont le nom ne sera pas cité pour préserver son anonymat et son intégrité. Dans ce dossier, était pointé du doigt ses propos et publications délétères sur les réseaux sociaux, en particulier contre les « arabo-musulmans » voulant bien sûr imposer la charia, les immigrés en général comme fléau de notre civilisation, les Juifs qui dominent le monde, et les communistes et anarchistes qui soutiennent l’ensemble. Plus qu’inquiétant quand on sait les pouvoirs du bonhomme.
Mais il ne se contentait pas de maudire le monde dans son coin, illustrant des rapports étroits avec tout ce que la Franche-Comté compte de mouvements et individus fascisants : Jeunesses nationalistes, Œuvre française, Front comtois, Werwolf Sequania, identitaires, nationaux-socialistes black-métal, ou encore Front national, comprenant une présence physique à des réunions et rassemblements, ainsi que des amitiés affichées avec les auteurs présumés d’une dizaine d’agressions politiques et racistes courant 2013 à Besançon et qui restent encore à ce jour impunies. À la suite de la parution, Émile a été "mis au frais" quelques mois, retiré des points chauds comme les manifestations libertaires ou de défense des minorités. Il a progressivement puis pleinement réintégré ses prérogatives début 2014, de nouveau visible et aux premiers rangs.
Ses comptes notamment sur Facebook ont disparu, et il semble que désormais il tente une autre voie pour faire triompher ses idées à travers le syndicalisme. C’est du moins ce que confirment plusieurs sources internes et chroniqueurs bien informés. Un nouveau positionnement qui en dit long. Certes le nombre de membres et sympathisants n’excède pas dix à quinze fonctionnaires, et il faut citer sa forte expérience et sa volonté indéfectible, mais lorsque l’on trouve un tel C.V. en si haute estime, comment ne pas se demander quels sont le niveau et le « pédigrée » moyens du reste de la cohorte. Au minimum une confirmation que la F.P.I.P. prolonge son histoire avec l’incorporation d’éléments troubles, haineux, et potentiellement violents, porte ouverte sur des supputations plus collectives mais qui nécessiteraient davantage d’investigations pour être infirmées ou confirmées.
Et la Police municipale ?
Sur Besançon, ces titulaires restent majoritairement affiliés au « Syndicat National de la Police Municipale/Confédération Française de l’Encadrement-Confédération Générale des Cadres (S.N.P.M./C.F.E.-C.G.C.). Il n’y a, structurellement, apparemment aucun lien avec le S.P.I.P. ou toute autre mouvance « dure » de la police et de la sécurité. Mais là aussi, on constate une progression, si ce n’est des bords et groupements, d’idées autrefois confinées à des franges fanatisées et confidentielles. À l’image de ce constat, les derniers propos de l’un des cinq délégués au journal l’Est républicain le 18 janvier dernier [20]. Encore une fois, les suites des crimes parisiens en filagramme, le choc et l’émotion vont avoir un emploi majeur dans les mots et leur appréciation, laissant passer des termes et des demandes qui auraient naguère sans doute provoqué la polémique.
Daniel Pozzi déclare, le plus normalement du monde, « le vaste quartier H.L.M. de Planoise est gangrené par le deal de drogue et les signes vestimentaires de radicalité islamique sont visibles. » Avant de réclamer solennellement, la dotation d’armes à feu pour ses services. Des propos et une surenchère qui rappellent très précisément l’attitude de Thierry Silvant, mais qui vont encore plus loin dans la brutalité et les associations. Combo splendide entre populations pauvres, économie sous-terraine, et croyants belliqueux ; on ne voit pas le rapport entre tous, ce qu’est un « accoutrement extrémiste » (foulard, djellaba, keffieh ?) et en quoi son port est une démonstration de connivence fondamentaliste, ni comment le fait de posséder ou non une arme favorisera concrètement quoi que ce soit. L’histoire aurait pu en rester là, c’est sans compter sur la conjoncture donc.
En surfant sur la vague, la fameuse « d'union nationale », de tristesse commune, et débat pour comprendre et solutionner, on retrouve un Jean-Louis Fousseret ému qui promet : « on rouvrira le débat, il n’y a pas de sujet tabou ». Et en effet le premier édile va une nouvelle fois céder au spectre de l’ultra-sécurisation… après avoir annoncé vingt-six nouvelles embauches et instauré un plan de vidéosurveillance en 2014. Comme si le tout répressif pouvait répondre aux vrais problèmes : chômage, absence de considération, accès à la culture limité, ostracisme/ségrégation, paupérisation… Il n’est ainsi pas inutile de rappeler quelques autres vérités et échecs : les plus de 40% de demandeurs d’emplois pour la tranche 18-25 ans ou les 6 100€ de revenu annuel moyen par foyer sur le secteur Île-de-France. Mais là, le terrain et les dénouements sont moins faciles. Le maire de Bézier Robert Ménard (F.N.) n’a d’ailleurs pas attendu longtemps pour contribuer, et malgré le flot de critiques quant à sa campagne publicitaire [21], il reflète bel et bien une atmosphère globale.
Le vent en poupe.
Les études de sociologie politique concernant la police, tant anglo-saxonne que française, établissent depuis des décennies une propension plus forte que la moyenne, individuellement comme institutionnellement, à l’attachement à des notions telles que le patriotisme, l’étatisme, le corporatisme, l’Autorité, la hiérarchie, et les valeurs sociétales « traditionnelles », en restant majoritairement sur un mode « républicain. » Sans bercer dans les fantasmes populaires qui souvent stéréotypent et généralisent, l’impression d’une composante pouvant être qualifiée de plus réactionnaire n’est donc pas sans fondements. Toutefois cet aspect ne saurait être mis sur le même plan que l’adhésion à des opinions et structures néo-fascistes, mais leur émergence et leur influence se développent et s’immiscent dans toutes les strates à l’instar du reste de la population.
Cette structuration des individus les plus menaçants est donc en soit un signe des temps inquiétant et à suivre, mais davantage c’est bien leur rayonnement qui pose ici surtout question. Minoritaire, numériquement comme électoralement, la F.P.I.P. a réussi à devenir l’interlocutrice exclusive de la Mairie pour l’une des plus grandes dates de la ville sur un sujet particulièrement sensible ; une maladresse d’après les concernés, qui ne devrait donc pas se reproduire… mais que dire de la presse qui suit sans broncher ; sans oublier ces municipaux, d’apparence en dehors de toute compromission, qui deviennent les chantres de la méfiance, de la fermeté, et de l’exclusion, par des clichés et des raccourcis, le tout aboutissant à une recommandation sérieuse, qui par le fond et la forme, ne devrait susciter que la temporisation et la perplexité, mais trouve au contraire un formidable écho auprès des dirigeants « de gauche » ?
Les citoyens, premiers atteints, sont pour leur part très partagés. Suivant la pyramide des âges, la catégorie socioprofessionnelle, et le positionnement rural/citadin, les disparités sont criantes. Mais, d’une manière globale, en rejetant le plus souvent une adhésion à des étiquettes, le sentiment d’insécurité, la xénophobie, la crainte d’attentats, et le repli national/identitaire, deviennent de plus en plus partagés et bouillonnants toutes sensibilités confondues. Dans cette ambiance, ce type de formation peut-il prospérer en interne, avec quels résultats ; et davantage, ses positions et projets arriver à s’enraciner définitivement chez les interlocuteurs extérieurs, prenant la tangente d’administrés inquiets et désemparés ? après une croissance sans précédent du phénomène, il semble qu’aujourd’hui et demain rien ne vienne contredire des suites prometteuses…
Sources et références.
[1] Une marche historique de 30 000 personnes à Besançon ! sur MaCommune.info - http://www.macommune.info/article/nous-sommes-tous-charlie-entre-25000-et-30000-a-besancon-113140
[2] Vidéos complètes des interventions du 10 janvier à Besançon sur MaCommune.info - http://www.macommune.info/article/noussommescharlie-suivez-en-direct-la-marche-citoyenne-et-republicaine-a-besancon-113132
[3] Interview de Thierry Silvand en marge de son intervention sur MaCommune.info - http://www.macommune.info/article/nous-sommes-ahmed-nous-sommes-franck-nous-sommes-charlie-113189
[4] Le temps de l'unité citoyenne sur l'Est républicain - http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/01/10/le-temps-de-l-unite-citoyenne
[5] L'émission la Voix est Libre sur France 3 Franche-Comté à propos des leçons à tirer en suite des attentats - http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/emissions/la-voix-est-libre/actu/apres-les-attentats-les-lecons-d-une-mobilisation-historique.html
[6] L'accident du scooter et ses suites sur France 3 Franche-Comté - http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2015/03/04/besancon-l-accident-de-scooter-et-ses-suites-667821.html
[7] Jacques Leclercq, Dictionnaire de la mouvance droitiste et nationale de 1945 à nos jours, Paris, L'Harmattan, 2008, 693 p. (ISBN 9782296064768), p. 196-197.
[8] Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Le guide des sponsors du Front national et de ses amis, Paris, Éditions Raymond Castells, 1998, 255 p. (ISBN 2-912587-00-X), p. 68.
[9] Les attentats contre la presse en France sur leFigaro.fr - http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/18/01016-20131118ARTFIG00231-attentats-contre-des-journaux-des-precedents-spectaculaires.php
[10] Les attentats contre les foyers SONACOTRA par Midi 2 sur le site de l'I.N.A. - http://www.ina.fr/video/CAB88049036
[11] L'attentat du foyer SONACOTRA à Cagnes-sur-Mer par Soir 3 surt le site de l'I.N.A. - http://www.ina.fr/video/CAC89022748/attentat-cagnes-sur-mer-video.html#xtor=AL-3
[12] La police et l'extrême-droite par Jean-Yves Camus sur Rue89 - http://blogs.rue89.nouvelobs.com/jean-yves-camus/policiers-dextreme-droite-a-amiens-il-y-a-des-precedents
[13] Site officiel de la F.P.I.P. - http://www.fpip-police.fr/
[14] L'extrême-droite ne parvient pas à percer dans la Police sur le Monde - http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2014/12/05/l-extreme-droite-ne-parvient-pas-a-percer-dans-la-police_4535304_1653578.html
[15] Le commissariat du Mans choisit la F.P.I.P sur France Bleu - http://www.francebleu.fr/infos/le-mans/le-commissariat-du-mans-choisit-la-fpip-1989396
[16] Les bastions de la F.P.I.P. sur Reflexes - http://reflexes.samizdat.net/les-bastions-de-la-fpip/
[17] Résultats professionnels policiers dans l'Est par Unité-Police - http://www.unitesgppolice.com/ep2014/capi/CAPI_EST.pdf
[18] Les policiers appelés aux urnes sur France 3 Franche-Comté - http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2014/12/02/bourgogne-les-policiers-sont-appeles-aux-urnes-604578.html
[19] Besançon, un flic chez les fachos sur Toufik-de-Planoise.net - http://www.toufik-de-planoise.net/index.php/besancon-un-flic-chez-les-fachos/
[20] Les policiers municipaux réclament le port d'arme à Besançon sur le site de l'Est républicain - http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/01/18/on-devient-des-cibles
[21] La police municipale a un nouvel ami sur France T.V. info - http://www.francetvinfo.fr/politique/a-beziers-la-police-municipale-a-un-nouvel-ami-un-revolver_822157.html
paul
Notre gouvernement aux ordres
Notre gouvernement aux ordres américano sionisme veut détruire les autochtones français de race blanche et de confession Catholique par le métissage racial et la délinquance (qui se transforme en séparatisme armée dans certaines localités).
Notre pays est au bord de l’explosion, nous n’avons plus d’homme, notre salut ne peut venir que de l’aide des russes qui ont un intérêt à intervenir tôt ou tard dans le cadre de leur conflit inévitable avec les américano sionisme, il nous faut nous préparer à la collaboration active comme l’on fait les vrais français au siècle dernier.Paul