La CIP représentée une nouvelle fois par 20 musiciens, 1 danseuse et 15 personnes encadrantes, masqués et respectant les règles sanitaires, a investit le Carrefour d'Ecole Valentin, invitant un public conquis "à danser encore".
Le spectacle vivant ne doit pas s’enfermer dans la digitalisation et doit continuer d’exister en réel. Nous offrons donc une parenthèse, une respiration et un moment d’échange dans un lieu identifié de la grande consommation.
Le but : aller à la rencontre du public, pour partager, informer, alerter sur la situation.
Nous nous mobilisons à l’heure où les lieux culturels demeurent clos quand les temples de la consommation eux sont ouverts.
Un moment convivial, une autre manière de vivre la culture, proposé par des professionnels qui luttent pour maintenir leur avenir dans cette période anxiogène où la culture nous semble plus qu’essentielle. Nous occupons le CDN de Besançon depuis 51 jours pour organiser la défense de nos droits sociaux et lutter contre l’indifférence.
NON à la réforme de l'assurance chômage
NON à la réouverture des lieux culturels sans droits sociaux et sans mesures d'accompagnement
OUI à des mesures pour les étudiants, les grands oubliés de cette crise