Spin-Off de l’institut FEMTO-ST, amarob est labellisée entreprise Deep Tech

Amarob Technologies, projet entrepreneurial mené au sein de l’institut FEMTO-ST est reconnue nationalement pour son excellence et sa technologie de rupture made in France[i]. Lumière sur ce projet bisontin qui a bénéficié du dispositif chercheur–entrepreneur de la Région Bourgogne Franche-Comté et qui reçoit le label entreprise DeepTech décerné par Bpifrance.

Amarob a imaginé un système robotisé qui permet de réaliser des chirurgies lasers intracorporelles et se focalise notamment sur la chirurgie transorale (de l’entrée de la bouche aux cordes vocales) avec un endoscope doté d’un microrobot dirigeant un laser lors de l’intervention. Cette nouvelle génération d’instruments, moins invasifs, permet des opérations moins traumatisantes pour le patient et des interventions ambulatoires de meilleure qualité, plus sûres et plus efficaces.

Projet exemplaire d’une collaboration fructueuse et réussie entre chercheurs et praticiens, Amarob est reconnue pour sa technologie disruptive imaginée en réponse à un besoin clinique identifié et avéré. Sa labellisation fait entrer Amarob dans la cour des pépites françaises, définie par Bpifrance.

La technologie développée par Amarob répond ainsi à des critères précis :

*        Elle est issue d’un laboratoire de recherche public et s’appuie sur une équipe pluridisciplinaire et complémentaire, composée de chercheurs, d’entrepreneurs et de chirurgiens reconnus avec lesquels la gouvernance entretient un lien étroit avec le monde scientifique.

*        Elle constitue un avantage fortement différenciateur par rapport à la concurrence.

*        Elle est caractérisée par un go-to-market ambitieux, à fort potentiel capitalistique.

Amarob vient par ailleurs de recevoir la bourse FrenchTech Emergence pour le développement de son robot dédié à la chirurgie laser intracorporelle.

L’institut FEMTO-ST est une unité mixte de recherche, placée sous la tutelle d’Université Bourgogne Franche-Comté (UBFC) et du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), mais aussi de l’Université de Franche-Comté (UFC), de l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques (ENSMM) et de l’Université de Technologie Belfort-Montbéliard (UTBM).

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