Pour une politique écologique efficace

Trois prérequis sont nécessaires pour mettre en place une politique écologique :

1 – Le premier pré requis est la démocratie avec des représentants élus par le peuple lors d’élections

2 – Des contre-pouvoirs sont aussi nécessaires avec une presse libre et des associations indépendantes

3 – Une économie de marché avec des régulations fortes

Ces prérequis sont nécessaires mais non suffisants. Ils doivent s’accompagner d’une volonté politique de déployer une politique écologique qui permet d'analyser et de mesurer les impacts directs ou indirects des activités de l'homme sur son environnement, de lutter contre le réchauffement climatique et de mettre en place des mesures pour la protection de l'avenir des futures générations.

Commentaires

  • Des contre-pouvoirs sont

    Des contre-pouvoirs sont aussi nécessaires avec une presse libre et des associations indépendantes

    Très bien, alors quelles lois proposez-vous pour que la presse et les grands médias ne soient plus possédée par des milliardaires? Pour que les « experts » invités, soi-disant caution scientifique objective dans les débats, ne soient pas en immense majorité des porte-parole de la doxa libérale actuelle.

    Pensez-vous que les médias actuellement dominants jouent un rôle de média indépendant. Sinon, que proposez-vous?

    Une économie de marché avec des régulations fortes

    Voilà qui est joliment dit. Mais c’est quoi l’économie de marché aujourd’hui? C’est une économie dont le seul critère est la rentabilité, les profits. Alors que le critère réellement pertinent est le bien vivre de la population.

    Faudrait-il que la Santé, l’Éducation, l’air pur, l’eau potable, les transports en commun basculent définitivement dans l’économie de marché, comme le veulent Sarko, Macron et Le Pen, (et Hollande-Valls aussi, de manière à peine déguisée).

    Les régulations fortes semblent un vœu pieu tant qu’on ne propose pas des lois fortes.

    Tant qu’on n’a pas de lois fortes contre les géants qui contrôlent la planète, tant que la Commission de Bruxelles et les gouvernements s’aplatissent devant les entreprises qui mettent en procès les États pour atteintes à leurs profits, on n’entreverra aucun changement de système. Voyez le film L’illusion Verte sur le greenwashing des grandes firmes.

    Bref, ce qu’il faut c’est changer de système, au plus vite. Car on va droit dans le mur.


Laisser un commentaire