La Bourgogne Franche-Comté a besoin d’écologie !
Le Jura est un territoire industrieux, coopératif, résilient. Mais nous sommes touché.e.s comme les autres par les effets des changements climatiques et la pandémie. Les premières victimes sont les plus fragiles et les moins favorisés. La Région, en charge de sujets fondamentaux dans notre quotidien comme les transports ou la formation, est l’échelon pertinent pour mener une politique climatique ambitieuse et concrète. Avec les entreprises, les associations, les citoyen.ne.s engagées, les écologistes agissent pour défendre la solidarité, protéger les biens communs, améliorer notre qualité de vie et redonner confiance dans l'avenir. Nous sommes prêts pour construire une Bourgogne Franche-Comté qui prend soin de la nature comme de ceux qui y vivent.
Soutenir la ruralité, à la pointe de la transition écologique
Entre montagne, plateau et plaine, le Jura est une pluralité de bourgs-centres souvent dynamiques mais également isolés. Or mêmes les plus petites communes se lancent dans la transition écologique. Souvent à l’origine de projets précurseurs, leurs maires font montre d’un optimisme sans faille, malgré un chemin complexe vécu comme absurde … Le Conseil Régional doit être facilitateur aux côtés des territoires, mettant sa force de travail au service des dynamiques en monde rural.
Nous voulons des paysans !
La production durable d’une alimentation saine suppose le respect du sol, de la biodiversité, des animaux. Nous avons besoin de plus de paysan.e.s et bien formé.e.s. Parce que nous voulons changer de modèle agricole, nous voulons des paysans ! La perspective du triplement du nombre de paysan.e.s est enthousiasmante pour l'emploi régional.
Le Jura est aussi une terre d’industrie
Lunetterie, agro-alimentaire, métallurgie, plasturgie, peinture, tri, … Le Jura connaît une diversité industrielle qui travaille aujourd’hui à sa transition et à sa relocalisation, consciente des enjeux climatiques. Nous souhaitons accompagner ce tournant vers des emplois de proximité, ni délocalisables ni précaires, socialement utiles et respectueux de l’environnement et du climat. En bref, formation, reconversion, diversification, anticipation, recherche et développement et financement ...
Ils parlent … agissons !
Les candidats écologistes pour le Jura sont :
Pascal Blain : Responsable associatif engagé du pays dolois, il est activement impliqué dans la protection de la nature et de l’environnement. Informaticien, il enseigne dans le supérieur après avoir été chef de projet dans une société de services. En transmettant son expérience de l’informatique et de la gestion, il prépare de jeunes adultes à la vie active.
Sarah Persil : Militante de l’Économie Sociale et Solidaire, Sarah n’a pas supporté le face à face Macron-Le Pen. Elle préfère l’espoir porté par les projets solidaires et citoyens qu’elle accompagne. « La Région, c’est l’outil idéal pour redonner espoir et pouvoir au local ! ».
Jacques-Hervé Riffaud : De formation sciences puis aménagement du territoire, il est passionné de biodiversité, climat, habitat et intégration. « Comme citoyen, et adhérent CAP21, je me suis engagé pour plusieurs mandats municipaux, à Fontaine lès-Dijon, Beaune et plus récemment à La Pesse où je vis désormais »
Natacha Bigan travaille en tant qu'indépendante en communication visuelle afin d'aider les acteurs de la protection de la nature à sensibiliser le grand public aux enjeux environnementaux. Également élue du village de Lamoura dans le Haut-Jura, son défi est que l'écologie fasse positivement partie de notre quotidien à tous.
Marc Capelli : Retraité EDF à la trajectoire tiraillée entre délitement du service public et son engagement citoyen. Marc a assumé 20 années de mandats électifs : conseiller municipal, adjoint, président de Sivom, vice-président Sictom et Sydom … Avec logiquement devant l’urgence climatique l’engagement politique au sein d’Europe Écologie Les Verts.
Véronique Besancon : Engagée pour l’arrêt des pesticides, elle a rencontré les hommes politiques locaux, maires, député ... Ça a été le choc : ils ne bougeraient pas ! Elle a trouvé auprès d’EELV, des hommes et des femmes qui se battent pour un monde plus sain, plus humain, solidaires, avec des projets à la hauteur de notre monde.
Guy Savoye : maire d'un village de 550 habitants de la basse vallée du Doubs, militant écologiste depuis plus de 30 ans, Guy tente de mettre en pratique la maxime : "penser globalement, agir localement", avec la conviction que les solutions aux crises écologiques et sociales partiront de la base.
Anne Perrin : Adjointe au maire de la ville de Lons-le-Saunier, Anne est en charge de la ville-nature, de la transition écologique et de l’innovation urbaine. « Le monde d’après se construit chaque jour, là où nous avons le pouvoir de faire. La région étant l’échelon de la planification environnementale et économique, les écologistes se doivent d’y être présents pour trouver les leviers nécessaires à l’action »
Frédéric Pitel : Gardien de refuge dans le Haut-Jura depuis presque 40 ans, Frédéric milite pour un tourisme responsable et respectueux de l’environnement. Après sa formation en phyto-culture, il prend conscience du massacre de nos terres agricoles. Il est responsable associatif dans le secteur culturel, créateur d’une SCOP en écoconstruction et sociétaire de plusieurs coopératives dans les domaines de l’éducation populaire, du bâtiment et de l’agriculture. Il est maire adjoint de Bellecombe.
Sophie Montenot : Géologue dans le BTP, Sophie a fait le choix de se réorienter vers un projet agricole, un projet de vie plus en phase avec ses valeurs et surtout avec sa volonté de limiter son impact sur la nature. « Je suis convaincue que la transformation de notre société vers un monde plus résilient et humaniste se fera par l'exemple et l'expérimentation au niveau local » nous dit-elle.
Nicolas Roques : Ingénieur de formation, après quelques années dans les travaux publics, il s'est reconverti dans l’enseignement, le soutien scolaire et la formation pour adultes. Il apprécie particulièrement enseigner les mathématiques et la science. il souhaite avoir une approche pragmatique face à l'urgence climatique, guidée par l’exigence de la rigueur scientifique. Il est adhérent à CAP 21 depuis de nombreuses années.