La Chronique de Filou – La lettre « hors-sol » de Macron.

Pourquoi "hors-sol", parce que le contenu de sa lettre est démenti par les actes du quinquennat, et parce que il ne reviendra pas sur ses "mesures phares" donc il continuera à faire le contraire de ce qu'il écrit dans sa lettre.

 

En introduction : La France c'est le meilleur pays … fraternel, solidaire, égalitaire … sauf pour les pauvres (extrait : "parce que les salaires sont trop faibles pour que certains puissent vivre dignement du fruit de leur travail, parce que notre pays n’offre pas les mêmes chances de réussir selon le lieu ou la famille d’où l’on vient").

 

Extrait : "Poursuivre la baisse des impôts" ! Faut oser !! Il a supprimé l'ISF et, en même temps (formule chère à Macron), augmenté la CSG, quelques impôts indirects dont la fameuse taxe essence qui lança le mouvement des Gilets Jaunes. Donc "Poursuivre la baisse des impôts" cela veut dire en réalité, dans la bouche de Macron, baisser les impôts pour les riches et taxer davantage les pauvres !

 

L'écologie, … on se demande bien pourquoi Hulot a démissionné ? Pas la peine d'en écrire plus.

 

Et que viennent faire ici l'immigration et la laïcité ???? … C'est un calcul politicien pour alimenter Le Pen et son R.N., car il sait que c'est ce qui peut diviser les Gilets Jaunes. Lamentable !

 

Puis, il y a les questions orientées. Je n'en retiens qu'une : "Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ? A l’inverse, voyez-vous des besoins nouveaux de services publics et comment les financer ?". Mais on sait d'avance qu'il ne remettra pas en cause ses promesses de campagne, ni son idéologie libérale, et il supprimera encore des postes de fonctionnaires (120.000 suppressions d'emplois annoncées).

 

Conclusion de Filou : lettre hors-sol, un Macron totalement déconnecté de la réalité sociale de son pays. Immaturité politique à peine compréhensible.

Avec mon "Stylo Rouge", je mets 0 sur 20.

Et avec mon Gilet Jaune et un Drapeau Rouge : actes 10, 11, 12 … À samedi !

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