Angelot Place Saint Pierre / STOP à la manipulation de notre histoire !

Le MFC est stupéfait d’apprendre que c’est finalement un angelot, trouvé dans une brocante, et non pas la statue de Charles Quint, brandissant un glaive, symbole phallique pour les féministes, et réalisée en 1568 par le sculpteur comtois Lullier, qui demain trônera en façade de l’Hôtel de Ville. 

La Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) se justifie par une absence d’image assez précise de cette sculpture pour pouvoir la reproduire, alors qu'il en existe plus d’une !  Quant à remettre, à minima, la statue  créée plus tard,  en 1854,  avec des dauphins soutenant une vasque posée sur la tête d'un génie et dont l’eau s’écoule, pas question non plus.

En lieu et place, on va y voir apparaître, comme tombé du ciel par miracle, un angelot  asexué, n’ayant absolument rien à voir  avec l’histoire de notre ville.  Ce qui, à coup sûr,  ravira féministes et partisans de la théorie du genre !  Mais la DRAC ignore-t-elle que  les représentations religieuses sont interdites en façade des monuments publics ?

Enfin, les 22 fontaines de Besançon ayant toutes leur propre nom, celle de la place Saint-Pierre  s’appelant officiellement « Fontaine Charles Quint », quid de la surprise des touristes de voir Charles Quint y être représenté par un ange... alors, en plus, qu’il n'en était pas un ?

Pour le MFC, l'histoire de Besançon se doit d'être connue et respectée et non pas réinventée à volonté par des édilesen plein déni de réalités et délire idéologique.

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