Résultats de recherche : alstom
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Plan de relance / hydrogène : courrier adressé par Marie-Guite Dufay au président de la République
Monsieur le Président de la République, Le Premier ministre est sur le point d’annoncer les grandes lignes du plan de relance de l’État d’un montant de 100 milliards d’euros. Il s’agit d’une immense opportunité de concentrer la plus grosse partie de ces efforts au verdissement de notre industrie. Effectivement, la crise sanitaire, sociale et économique que […] -
Plan de relance et réindustrialisation ?
Depuis des décennies, General Electric est un partenaire incontournable en France sur les secteurs stratégiques de la Santé, de l’Energie et de l’Aviation. Le plan de relance et la réindustrialisation dans ces 3 secteurs ne pourra donc pas se faire sans cet acteur. Cependant, lors de la réunion du mercredi 8 juillet du comité groupe […] -
Mardi 30 juin 2020 à 11h à Bercy : 4ème comité paritaire de suivi des accords du 21 octobre 2019
L’intersyndicale se rendra au ministère de l’économie et finances mardi 30 juin 2020 à 11h en présence de représentants de l’état et du groupe General Electric, pour le 4ème comité paritaire de suivi l’accord du 21 octobre 2019 qui marqua la fin d’un conflit social de plus de 4 mois sur le site de Belfort. […] - Separateur
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Mercredi 27 mai 2020 : 3ème comité paritaire du suivi des accords du 21 Octobre 2019 en présence de l’Etat
Mercredi 27 mai 2020 de 14h à 16h, se tiendra en présence des représentants du groupe General Electric, des organisations syndicales et de l’état français, la 3ème réunion du comité paritaire de suivi des accords du 21 Octobre 2019 qui marqua la fin d’un conflit de 5 mois sur Belfort. Suite au retrait du recours […] -
General Electric Belfort : nouvelles délocalisations en plen COVID-19
En 2019, General Electric justifiait 792 suppressions d’emplois à Belfort par une hypothèse de baisse de marché non avérée. En réalité, cela visait à masquer un vaste plan de délocalisation en Hongrie, Pologne et Inde, contraire aux accords signés avec l’état français en 2014 lors de l’acquisition d’ALSTOM. Comme prévu par les experts, le marché […] -
Economie - Politique - Social - Société civile - Syndicats
Gilets jaunes et syndicats : je t’aime moi non plus ?
Entre syndicats et Gilets jaunes, c’est un peu je t’aime moi non plus. Après les déchirements des débuts, la lutte contre la réforme des retraites sonne maintenant le rapprochement. La convergence est par exemple très marquée à Belfort, encore timide à Besançon et presque inexistante à Vesoul. Mais partout, et malgré les divergences sur les modalités de la mobilisation et parfois sur les revendications, ces « deux mondes » tentent un rapprochement plus ou moins réussi, tant l’union de toutes les forces apparait indispensable pour éviter la casse du modèle social et construire une société plus juste.
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Economie - Education - Etat - Politique - Social - Société - Syndicats
Convergence au rond-point d’Andelnans entre Gilets jaunes et syndicalistes
À 13 h, ils étaient une soixantaine réunie sur une sortie du rond-point d’Andelnans, un fief des Gilets jaunes de la région de Belfort. Un feu de palettes, des saucisses grillées, du jaune et des chasubles rouges. L’initiative prend forme quelques jours avant la journée de grèves et de manifestations du 5 décembre, quand certains groupes de Gilets jaunes lancent un appel à la convergence des luttes et invitent les syndicats à venir les rejoindre dès ce samedi 7 décembre sur le rond-point du Cora. L’intersyndicale avait relayé l’information au micro jeudi dernier pendant la manif. Ce matin, ils sont peu nombreux à arborer les couleurs de leur syndicat. Cinq ou six de la CGT et un de la FSU. Mais l’essentiel est là : les conditions propices à une jonction entre la lutte syndicale et celle des Gilets jaunes sont maintenant réunies, ce qui n’a pas été simple.
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Economie - Etat - Industrie - Justice - Politique - Social - Société - Syndicats
General Electric : l’Etat attaqué en justice, l’usine bloquée
Les syndicats de General Electric ont saisi la justice pour faire reconnaitre la responsabilité de l’État dans l’annonce du plan social de 792 postes qui toucherait les sites de production des turbines à gaz de Belfort. Ils réclament 50 millions de dommages et intérêts pour le préjudice subi par la non-action de l’État pour faire respecter l’accord de 2014 qui conditionnait la vente de la branche énergie d’Alstom à GE. D’autres procédures similaires devraient suivre, notamment de la part de la ville de Belfort et de la région Bourgogne-Franche-Comté. Sur le terrain, l’échéance judiciaire apparait bien longue face à l’imminence des licenciements et les salariés sont passés à l’offensive. Les sites de Belfort et de Bourgogne sont complètement bloqués depuis hier, une grande manifestation est prévue le 19 octobre.
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Arts plastiques et graphiques - Culture - Economie - Politique - Société
Ornans, hommage au Communard : « Courbet aurait été Gilet jaune »
Ils étaient environ 150 « Gilets jaunes » ce vendredi soir dans les rues d'Ornans pour à célébrer l’enfant du pays, et artiste engagé, Gustave Courbet. Une façon de surpasser l’hommage « officiel et républicain » de la visite d'Emmanuel Macron par une démonstration « populaire et communarde. » Défilé revendicatif, théâtre de rue, cinéma en plein air et recueillement solennel ont été autant de moments forts.
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Agriculture - Aménagement - Collectivités - Collège - Lycée - Economie - Education - Emploi - Environnement - Industrie - Politique - Santé - Société - Urbanisme
Mutations industrielles et agricoles en question au conseil régional
General Electric, PSA, Faurecia, l'hydrogène... les sujets industriels furent nombreux à la dernière session du conseil régional où il fut aussi question d'agriculture biologique. Quelques passes d'armes eurent lieu y compris avec des bretteurs inattendus. Compte rendu détaillé de l’assemblée plénière des 27 et 28 juin à Dijon.
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Collectivités - Economie - Emploi - Etat - Industrie - Politique - Social - Syndicats
Avant la manif du 22 juin à Belfort, General Electric encaisse les coups
Les salariés de General Electric ont remporté une première victoire en empêchant la tenue de la réunion qui devait lancer le plan social. Le maire de la ville, Damien Meslot, a ensuite refusé de louer une salle à GE pour une nouvelle réunion prévue vendredi et les syndicats, qui ont rencontré la Direccte, menacent de porter l’affaire en justice pour contraindre l’État à faire respecter les engagements pris par GE dans l’accord qui conditionnait la vente de la branche énergie d’Alstom. Et samedi, tout le monde s’attend à une manifestation massive à Belfort en soutien aux salariés de GE.
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Economie - Emploi - Etat - Industrie - Politique - Social - Syndicats
Révélations : l’accord signé entre GE et l’État prévoyait un centre mondial de décision à Belfort
Outre la création de 1.000 emplois, l’accord signé entre l’État français et General Electric pour l’acquisition de la branche énergie d’Alstom comportait aussi l’obligation pour la firme de maintenir ou de créer des centres de décisions mondiaux en France. L’activité turbines à gaz à Belfort, menacée par la suppression de près de la moitié de ses effectifs, est concernée. D’après le document, l’État conserve la possibilité d’attaquer GE en justice pour l’obliger à respecter ses engagements, dont presque aucun n’a été respecté.
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Arts plastiques et graphiques - Collectivités - Culture - Etat - Politique
Macron à Ornans : ode à Courbet et à la liberté dans une ville bouclée
Pour Christine Bouquin, présidente du Conseil départemental du Doubs, et Emmanuel Macron, qui lui reprendra la formule, Courbet se serait sans doute bien « amusé » de l’hommage solennel qui lui a été rendu ce lundi à Ornans à l’occasion du bicentenaire de sa naissance. Dans une ville barricadée par un impressionnant périmètre de sécurité, le président a célébré « ces terres qui ont un goût pour la liberté et l’utopie ». Christine Bouquin encensait un Courbet radical et Sylvain Ducret, maire de la ville, partageait ses craintes quant à l’avenir industriel de la vallée, et par la même, de la région.
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Belfort : La bataille commence dans les usines General Electric
Après le comité d’accueil houleux réservé à Bruno Le Maire lundi, les salariés de General Electric ont décidé en AG jeudi de démarrer les actions. Ce vendredi matin, ils ont bloqué une turbine et un rotor qui devaient sortir du site. Dans les ateliers, c’est la grève du zèle. Chacun est appelé à suivre rigoureusement les protocoles, et donc de à ralentir la production. L’intersyndicale a appris pendant le blocage que le gouvernement indique ne pas avoir ne se donnera pas les moyens d’annuler le plan de licenciement ni de retarder le début du processus qui devrait s'enclencher le 17 juin. Eux ne veulent pas négocier un plan jugé obsolète après les propos du ministre et exigent que la direction étudie les pistes de diversifications avant de licencier.
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A Belfort, Le Maire met la pression sur General Electric
En visite à Belfort sur le site de General Electric où se trouvaient presque mille personnes, Bruno Le Maire exige que GE revoie sa copie pour baisser le nombre d’emplois supprimés et demande le maintien de la compétence turbine à gaz à Belfort. Après sa rencontre avec les dirigeants de GE et les syndicats, il évoquait aussi sa crainte d’une « liquidation dissimulée ». Il annonce également la création à Belfort d’une société aéronautique financée par GE et l’État et l’implantation d’un centre dédié à l’hydrogène. L’intersyndicale évoque une rencontre positive, mais n’est guère rassurée. Dehors, après avoir accueilli et salué le ministre par des huées, certains ne croient plus aux discours et parlent de blocage, alors que des turbines s’apprêtent à être livrées…
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Premières réactions syndicales à GE : « un mouvement qui risque d’être dur »
Encore sous le choc de l’annonce par General Electric de supprimer 1 044 postes en France, presque tous à Belfort, les syndicalistes engagent maintenant le combat et préviennent qu’il sera difficile de canaliser toutes les colères des salariés, qui étaient d'ailleurs pour beaucoup en congés quand ils ont appris la nouvelle. Les syndicats dénoncent encore une fois les mensonges du ministre de l’Économie, qui a justifié le plan social à l’Assemblée nationale, et une probable volonté de fermer à terme complètement le site de production de turbines à gaz de Belfort.
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Economie - Emploi - Etat - Industrie - Politique
Bruno Le Maire assure le SAV de General Electric
Après l’annonce par General Electric de la suppression de plus de 1.000 postes à Belfort aux membres du conseil d’administration, c’est Bruno Le Maire qui a justifié cette décision à l’Assemblée nationale. Il répondait à Michel Zumkeller lors des questions au gouvernement. Le député de Belfort évoque un jour noir et des paroles non suivies d’actes, tandis que le ministre enterre définitivement l’activité gaz tout en promettant de garantir un avenir industriel au site.
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Economie - Emploi - Etat - Industrie - Politique - Social - Syndicats
Du gaz à General Electric Belfort
Sous pression. Comme tous les acteurs du dossier General Electric et son usine à Belfort. Personne ne dit rien, mais le bruit de 1.000 suppressions de postes est persistant. La branche turbines à gaz, 1.900 salariés sur 4.200, semble la plus menacée. Bruno Le Maire vient presque de l’enterrer, faute de débouchés. Les syndicats dénoncent un mensonge pour mieux faire passer la pilule du plan social. Chiffres à l’appui, ils tablent, tout comme GE, sur la reprise du secteur. Pour pérenniser l’excellence industrielle de Belfort, son savoir-faire et ses emplois, ils ont élaboré des pistes de diversification : aéronautique, hydrogène et nucléaire.
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Elections - Partis - Politique
Un millier de personnes au meeting bisontin de la France insoumise
Après qu'Anne-Sophie Pelletier a parlé de « dignité », la tête de liste Manon Aubry a ravi l'auditoire par sa fraicheur, sa défense des fromages AOP et sa critique des paradis fiscaux. Alexis Corbière a dénoncé « l'hypocrisie » macronienne sur les ventes d'armes à l'Arabie Saoudite. Jean-Luc Mélenchon a philosophé, préférant Les Lumières aux racines chrétiennes, proposant une Europe du Club Med' et assurant : « le moment viendra, nous gouvernerons le pays… »
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Pouvoir d’achat et transition écologique en priorités à la Région
Les conseillers régionaux de Bourgogne-Franche-Comté ont voté 17 millions d'euros pour le « pouvoir d'achat de tous », donné un coup de pouce aux stagiaires de la formation professionnelle, créé 30 postes de fonctionnaires territoriaux, parlé transports, adopté un plan forêt-bois sensé récolter davantage mais sans lutter contre l'enrésinement…
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Economie - Politique - Société civile - Syndicats
« Si on passe à côté des gilets jaunes, ce n’est plus la peine de militer… »
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté en Franche-Comté à l'appel de Gilets jaunes et de plusieurs syndicats, Dole ayant la plus forte affluence. Parti du siège régional du Medef, le défilé de Besançon s'est scindé, la CGT s'arrêtant au bout d'une heure et demi. Plusieurs centaines de personnes ont encore marché trois heures, faisant halte devant des lieux de pouvoir économique et politique.
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Elections - Partis - Politique
Ian Brossat (PCF) : « Le seul moyen de s’en sortir, c’est de rompre avec les traités… »
En meeting à Besançon, l'adjoint parisien au logement, tête de liste aux élections européennes, a défendu des arguments pour convaincre de voter le 26 mai prochain un électorat enclin à considérer que le parlement européen « ne sert à rien ». Il défend une alternative aux libéraux et à l'extrême-droite pour combattre les « deux maux » de l'Union : l'austérité et la concurrence.
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Optimiste et méthodique, Marie-Guite Dufay entre espoir et vouloir…
Lors de ses vœux bisontins aux corps intermédiaires, la présidente du Conseil régional a expliqué comment, outre le vote de plans d'urgence (BTP, agriculture) et de quelques volets économiques (formation des chômeurs, tarifs TER...), l'essentiel du début de mandat a consisté à harmoniser plus de 2000 règlements jusqu'alors différents. Elle s'est aussi prononcée pour le maintien de l'équilibre Besançon-Dijon trouvé en 2015.
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Marie-Guite Dufay un peu dans l’opposition à Macron
La présidente du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté a des mots assez durs contre la baisse des dotations qui prive la collectivité de 20 millions par an. Mais le dialogue rompu au niveau national avec l'État est maintenu localement car, a-t-elle dit lors de la session de rentrée, « nous avons besoin d'avancer ensemble ». La droite n'est pas très à l'aise, l'extrême-droite implose en gardant ses fondamentaux.
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Economie - Etat - Politique - Syndicats
Large intersyndicale contre les ordonnances dans le Doubs
L'union départementale FO signe avec la CGT, la FSU et Solidaires un appel à la grève et à manifester le 12 septembre contre la « loi travail XXL ». A la CFDT, plusieurs syndicats (santé-sociaux, métallurgie, services, territoriaux...) participeront au mouvement. Ce sera moins large ailleurs en Franche-Comté. Une seconde journée de mobilisation est annoncée rapidement.
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Jean-Luc Mélenchon superstar à Lons-le-Saunier
Avant de s'exprimer devant 500 à 600 personnes rassemblées sous la pluie lors d'un meeting en plein air, le quatrième homme de la présidentielle a présenté les candidats Insoumis de Bourgogne-Franche-Comté aux législatives à l'issue desquelles il se voit « Premier ministre ou président de groupe ». Il pensait que les « socialistes respectables » quitteraient le PS après la présidentielle et promet : « le moment venu, nous tendrons la main ».
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Economie - Industrie - Syndicats
La CGT de la métallurgie veut « une reconquête industrielle »
La première conférence Bourgogne-Franche-Comté de la CGT de ce secteur surreprésenté dans le Doubs et en Saône-et-Loire s'est tenue à Longvic. Entre la négociation d'une convention collective nationale et les nouvelles instances de dialogue social territorial, une centaine de délégués ont parlé de politique industrielle et d'évolution du salariat... Bouton abonnez-vous maintenant
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Economie - Education - Industrie - Recherche
Les microtechniques embarquées dans les mutations stratégiques
Une relative confiance en l'avenir semble porter les industriels présents au salon Micronora qui vient de se tenir à Besançon. Porté par la sous-traitance pour la santé, mais aussi l'aéronautique et le militaire, ce secteur clé de l'industrie comtoise est l'objet d'attentions soutenues et de moyens publics importants en matière de recherche et d'organisation des filières.
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Economie - Industrie - Politique
Emmanuel Macron : tirer la « leçon de Besançon » pour le pays
Inaugurant le salon des micro et nanotechnologies Micronora, l'ancien ministre a défendu une politique industrielle française et européenne s'inspirant du rebond post crise horlogère, s'appuyant sur l'investissement de long terme et la combinaison de l'intervention publique et de l'initiative privée. Son discours n'est pas sans contradiction : il veut à la fois réduire le coût du travail et investir dans le capital humain...
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Conseil municipal de Besançon : escarmouches en rafale
Armement de la police municipale, tram, Alstom, Mots Doubs... Aucun de ces sujets n'était à l'ordre du jour, mais ils ont largement alimenté les échanges de l'assemblée. Un vrai débat droite-gauche agrémenté d'une curieuse sortie de Jacques Grosperrin accusé d'amalgame entre terrorisme et malades psychiques par Rosa Rebrab.
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600 manifestants à Besançon contre la loi travail
Sept rassemblements étaient programmés dans la région. La manifestation belfortaine a rassemblé plus de 2000 personnes dont 1000 au départ du site d'Alstom-General-Electric.
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La Chronique de Filou – Emmanuel Macron lance son mouvement « En Marche ! » … arrière !!!
D'abord, revenons sur quelques phrases de ce ministre banquier (ou banquier ministre ?)...
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Economie - Politique - Syndicats
« Peut-on vivre autrement qu’en étant des machines ? »
14.000 personnes ont défilé en Franche-Comté selon la CGT. A la fin de la manifestation bisontine qui a rassemblé entre 3000 et 5000 participants, des étudiants et des militants chevronnés ont entamé une assemblée générale en public : la parole se lâche et on l'écoute.
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Maxime Thiébaut, jeune, gaulliste et anti-TAFTA
Ce diplômé de droit public, opposé au Center parcs de Poligny mais favorable à celui du Rousset, est tête de liste de Debout la France, le mouvement de Nicolas Dupont-Aignan. L'objectif de ce militant de droite sans complexe est d'être présent au second tour.
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Gauche de la gauche : l’impossible unité
La porte-parole nationale d'Ensemble, la Toulousaine Myriam Martin, et la tête de file du PCF pour la Bourgogne-Franche-Comté, Nathalie Vermorel, étaient à la même tribune samedi à Besançon pour exhorter à l'union et à l'entrée en campagne de la « gauche de transformation sociale ». Tandis qu'EELV annonce des listes autonomes, le PG regrette l'échec de la réunion de vendredi 2 avec ND, PCF, MRC et Ensemble... -
Transport ferroviaire : la Franche-Comté inquiète
Après la Cour des comptes et la loi Macron, le rapport Duron qui entend préparer l'ouverture de la concurrence européenne, inquiète les Haut-Saônois qui craignent pour la ligne Paris-Belfort. Que dire aussi de la perspective de la suppression à Auxon du seul TGV ayant une correspondance directe en provenance de La Chaux-de-Fonds ? - Separateur
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Pierre Laurent en Franche-Comté jeudi 4 mai
Le secrétaire national du PCF passe par Lure, Belfort et Besançon -
Economie - Industrie - Syndicats
La CGT veut réindustrialiser la Franche-Comté
Pour le premier syndicat de la métallurgie, la reconquête est possible si l'on investit dans les filières énergie, transports, automobile et microtechniques dans l'objectif de créer des emplois dans la région. Mobiliser dans cette perspective redonnerait espoir aux militants confrontés depuis des années à une grave crise sociale. -
Emmanuel Macron au secours d’Yves Ackermann ?
Un communiqué le laisse entendre... Bouton abonnez-vous maintenant
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François Rebsamen veut s’inspirer du passeport professionnel
A Besançon, le ministre du Travail a participé à une table ronde sur un dispositif régional venant de la mobilisation des syndicats, du patronat, de l'Etat et de la région pour amortir la crise de 2008 dans le nord Franche-Comté. Il débouche aujourd'hui sur un document garantissant des qualifications. Le BTP l'a adopté, la métallurgie devrait le faire. -
Les CCI 90 et Sud-Alsace favorables au rattachement du Territoire de Belfort à l’Alsace
Belfort et Mulhouse « profiteraient d'une économie plus dynamique ». -
Ça tangue dans la majorité régionale Verts-PS
Les écologistes ont voté contre deux dossiers présentés comme « structurants » par la présidente du Conseil régional qui a reçu le soutien de la droite sur le projet de Center Parcs de Poligny et une subvention à l'aéroport de Tavaux. « Nous servirons une fois encore de majorité de rechange », dit Stéphane Kroemer (photo), président du groupe UMP-Divers droite... - Separateur
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Alain Letailleur (MRC) : « Nul besoin de fusionner les régions pour être plus compétitif »
Factuel.info publie l'intégralité de l'intervention du seul conseiller régional MRC de Franche-Comté lors du débat relatif à la réforme territoriale, vendredi 27 juin. Dans un réquisitoire argumenté, il critique la méthode de Marie-Guite Dufay, assure que « l'intérêt des Franc-Comtois n'est pas garanti avec la fusion » et s'interroge gravement : « Combien de temps encore, socialistes et gaullistes vont-ils abandonner la République et la Nation au Front National ? » -
FN : arrêtez de vous faire peur !
L'extrême-droite à 25 %, voire 28,8 en Franche-Comté : des commentateurs sont fascinés. Un Français sur quatre, ajoutent-ils mi inquiets mi gourmands. Oui mais voilà, un électeur sur quatre quand six n'ont pas voté, cela fait un sur dix. 12,8% des inscrits, c'est un citoyen comtois sur huit ; 6,9%, c'est un Bisontin sur quatorze... -
Les grandes entreprises emploient 29,4% des salariés franc-comtois
Une étude de l'INSEE confirme ce dont on se doutait : le nord de la région est très dépendant des grandes entreprises, le Jura et la Haute Saône ont un tissu de PME nettement supérieur à la moyenne nationale. - Separateur
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L’opposition vote la plupart des dossiers stratégiques au Conseil régional
Le groupe UMP-Divers droite a voté l'essentiel des dossiers transports, « stratégiques », selon Marie-Guite Dufay la présidente de région. Il s'est abstenu uniquement sur l'ouverture de la ligne Belfort-Delle-Suisse. L'unanimité s'est faite encore sur l'équipement des lycées mais désaccords et abstentions se sont exprimés sur la formation. Le Front national s'oppose davantage à la droite républicaine qu'à la majorité. -
Arnaud Montebourg à Belfort : « le nerf de la guerre, c’est l’industrie »
« Salut Jean-Pierre, je suis content de te voir... » Le premier mot d'Arnaud Montebourg en descendant de voiture vers 10 h chez Alstom est pour Jean-Pierre Chevènement. Après le marathon de la visite de l'usine et du train de l'industrie, ils ont déjeuné ensemble. N'ont-ils parlé que d'industrie ? -
General Electric annonce des suppressions de postes à Belfort
Le groupe américain a annoncé un Plan de Sauvegarde de l'Emploi (PSE), à Belfort, à l'occasion d'un Comité d'entreprise extraordinaire le 28 février. Le conglomérat, dont l'usine de Belfort assemble des turbines à gaz, avait fait savoir deux semaines auparavant qu'il redistribuerait 18 milliards d'euros à ses actionnaires en 2013. Les chiffres, non confirmés, qui circulent vont de 115 à 200 postes supprimés. - Separateur
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Collectivités - Logement - Politique - Société
Le soutien de l’Etat au logement social fait défaut
Précarités, baisse du pouvoir d'achat, hausse des prix de l'énergie et... désengagement de l'Etat. Les actions du conseil général du Territoire de Belfort en matière de logement social sont fragilisées. Bilan intermédiaire face aux inquiétudes. -
Le budget 2013 de la région adopté à la majorité
Seuls les élus socialistes et écologistes du Conseil régional de Franche-Comté ont voté le document de 508 millions d'euros lors d'une session budgétaire de deux jours. Les deux oppositions UMP et FN ont voté contre, mais ont adopté ou se sont abstenus sur quelques politiques sectorielles.