Procès du local Bol d'R : décision le 9 janvier
Mardi 12 décembre 2017Le collectif Solidarité Migrants réfugiés soulagé du délai accordé par le délibéré prononcé par la Justice.
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Le collectif Solidarité Migrants réfugiés soulagé du délai accordé par le délibéré prononcé par la Justice.
Accès libreDans un communiqué intitulé « L’hébergement : un fondamental des droits de l’Homme », les co-secretaires du groupe local EELV de l’agglomération du Grand Besançon, Claude Mercier et Cécile Prudhomme, considèrent « scandaleusement dévoyés » les objectifs du programme d'accueil et d'hébergement des demandeurs d'asile, et demandent à l'Etat et à la ville de Besançon d'agir.
Accès libreL'Analyse des besoins sociaux présenté au dernier conseil municipal met l'accent sur le taux de pauvreté alarmant des moins de 30 ans : 35% en 2013, s'aggravant par rapport à 2012. Le document intègre aussi une étude par quartier montrant que la classe ouvrière existe toujours : elle habite notamment Planoise, Palente ou Clairs-Soleils et vit en HLM !
Pas de place au 115 pour une trentaine de personnes dont des enfants et des bébés...
Accès libreLes propriétaires de l'appartement de l'avenue Denfert-Rochereau, investi il y a deux mois par des militants qui l'ont ouvert à des demandeurs d'asile, avaient saisi la justice pour occupation sans droit ni titre. Alors que le débat juridique n'a pas encore eu lieu, le juge a curieusement quasiment intimé aux occupants de quitter les lieux.
Les militants qui ont investi des logements inoccupés pour y installer des demandeurs d'asile sans abri sont assignés devant la justice et doivent comparaître le 14 février. Plusieurs dizaines de personnes se relaient devant le second lieu après une rencontre houleuse avec le propriétaire.
Ils ne supportaient plus que des familles entières de demandeurs d'asile, fuyant notamment les violences persistantes en Albanie, se voient refuser des hébergements pendant l'instruction de leur dossier. Il y a un mois, ils ont investi un grand appartement vide depuis plusieurs années à deux pas du centre-ville et proposent de signer un bail précaire.
Le principe d'un rendez-vous a été accepté par le président de Grand-Besançon-Habitat. La CNL et les locataires demandent qu'il ait lieu rapidement et persistent : ils refusent la démolition et souhaitent une révision du projet de réhabilitation.